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jeudi 30 juin 2022

J'm'en veux...

Mon Roméo était tout ce que je désirais: charmant, gentil, beau, absolument génial au lit et pas trop disponible... J'ai souhaité fort fort avoir un gars qui ne serait pas dispo trop souvent, afin de ne pas avoir quelqu'un dans les pattes 100% du temps.

Et ce qui devait arriver arriva: JE me suis attaché. 

Hier, il ne m'a pas texté.. et je me suis senti tout croche.

Mais que puis-je faire? Il est en couple. Je savais dès le départ dans quoi je m'embarquais.

Faites attention à ce que vous désirez... vous pourriez bien l'obtenir.

mercredi 29 juin 2022

Que reste-t-il de nos amours?

Quarante ans. 

Et célibataire... 
Encore et toujours.

Bien sûr j'ai eu des fréquentations. J'ai aussi eu des relations plus sérieuses (deux dans les sept dernières années... c'est déprimant). Je m'ancre peu à peu dans des habitudes de vieux garçon. J'aime passer du temps tout seul... Est-ce que je veux avoir un chum à temps plein? Honnêtement, je ne sais pas.

Est-ce que je veux recommencer à baiser à droite et à gauche comme quand j'avais vingt ans? Non.

J'y réfléchis et je me rend compte que je suis à l'âge critique où les seules personnes que j'intéresse ont soit vingt ans de moins que moi, soit vingt ans de plus. Sinon, il reste les plus désaxés qui se trouvent sur les sites et applications de rencontres (ceux dont leur photo principale est un gros plan de leur anus, et qui essaient de faire croire qu'ils cherchent quand même quelque chose de sérieux). 

Et j'intéresse aussi les gars en couple. Je crois que ce sont eux les pires. Ils sont beaux, charmants, gentils, des amants hors pairs... Que ce soit avec un Stéphane, un Jonathan ou un Mario, j'ai la fâcheuse habitude de me laisser tenter, de me laisser charmer... pour me faire ensuite r'virer de bord. De toute évidence, on ne sort pas avec Chuck. On vient le voir quand on a envie de se faire remplir à quelques reprises, puis on retourne à sa vie de couple.

Habituellement je suis très rationnel, mais lorsqu'un gars non disponible commence à me tourner autour, on dirait que j'adopte alors tous les comportements que normalement je juge. Je deviens un véritable imbécile.

Jusqu'à récemment, je me disais que ce qu'il me faudrait, ce serait justement un genre de "garde partagée": un gars en couple, qui ne serait disponible qu'à temps très très partiel. Ou alors quelqu'un de vraiment très occupé que je ne verrais qu'à l'occasion.

C'est exactement ce que j'ai présentement. Je n'avais seulement pas envisagé le fait que je finirais peut-être par le vouloir à plein temps...

Roméo, O Roméo... pourquoi as-tu daigné poser les yeux sur moi ?

mercredi 31 décembre 2014

Exit 2014, Enter 2015

Et voilà, dans les 7 derniers jours j'ai écrit plus qu'en 2013 et qu'en 2012. Mais ça a comme fait du bien, même si c'était juste pour me plaindre de mes petits problèmes.

Tout à l'heure, avant de sortir, F est venu me dire ("dire" et non pas "souhaiter") bonne année. Il m'a dit que nous nous reparlerions demain. Honnêtement je ne sais pas ce qu'il reste à dire. Je ne sais plus où je suis rendu, ni où je m'en vais. Je ne me reconnais plus. Je déteste les comportements autodestructeurs que j'ai adoptés depuis quelques semaines. 

Je consulte, mais ce n'est que depuis peu de temps. Et jusqu'à maintenant ça ne m'aide pas vraiment. Je n'aime pas ce que je suis entrain de devenir. Je n'ai jamais été une personne méchante ou égoïste. Habituellement les gens peuvent compter sur moi.

Mais tout ça semble terminé car maintenant je blesse, je trahis, je fuis... Dans le fond, j'ai peur d'être heureux. Où alors j'ai encore trop de choses à régler pour arriver à l'être. Je ne veux pas entraîner F -- ou qui que ce soit d'autre -- là-dedans. Je ne suis pas en détresse.. je suis juste très mêlé. Je ne peux plus dealer avec moi-même, alors comment est-ce que je pourrais dealer avec les autres?

J'ai comme un besoin urgent de me retrouver seul, de m'isoler... de faire un gros gros tri dans mes idées. On dirait que j'ai besoin de savoir que plus personne ne compte sur moi, comme si je m'assurais ainsi d'éviter de blesser qui que ce soit. 

... wow... j'écris ça et même moi je ne suis pas sûr de tout comprendre...

Mon année 2014 avait pourtant tellement bien commencée. 

On se donne rendez-vous en 2015... en espérant que ça aille mieux.

jeudi 25 décembre 2014

It's the end of the world as we know it

Et voilà, après plus de six ans avec F, l'histoire se termine ici. 

Il n'y a pas eu de cris ni d'assiettes brisées... mais il l'a quand même terriblement mal prit lorsque je lui ai dit que c'était terminé. Et je le comprend.

Je n'ai pas rencontré quelqu'un d'autre, il n'y a pas eu de tromperies ou quoi que ce soit... mais au fil des dernières semaines je me suis rendu compte que je n'étais plus amoureux de lui. Nous avions fait des projets ensemble -- on devait partir en voyage en janvier. Et plus le voyage approchait, moins j'arrivais à dormir la nuit.

J'ai commencé par me dire que peut-être, PEUT-ÊTRE, ce voyage me ferait du bien et m'aiderait à y voir plus clair... mais d'un autre côté qu'allait-il arriver si cela ne m'aidait pas?! Au fond de moi, je savais que le cœur n'y était plus. Et je me déteste pour ça.

Et avec les Fêtes qui approchaient.... Ça allait bientôt être Noël, puis ensuite le Jour de l'An, puis il y aurait notre voyage, et ensuite ce serait la Saint-Valentin... J'étais hanté par la pensée de rompre avec lui à cette période-ci de l'année, mais je me devais de le faire avant le voyage -- voyage qu'IL avait gagné. Si j'y allait, il aurait cru que je m'étais servi de lui pour avoir un voyage gratuit avant de le "domper". Et malgré ce qu'il peut penser de moi au moment présent, je refuse qu'on me rajoute le qualificatif de profiteur. Après avoir passé deux semaines à ne pas dormir, après avoir perdu 5 lbs en 10 jours à force de stresser, j'en suis venu à la conclusion que je devais rompre avec lui là, maintenant. Même si on était à quelques jours de Noël.

Le climat à l'appartement est insoutenable. Je m'en veux terriblement de lui avoir fait du mal. J'en ai braillé deux fois à mon travail.

J'ai signé un nouveau bail hier matin. L'appartement est quelque peu miteux, mais ça fera l'affaire pour l'instant. Je ne veux pas être dans les jambes de F plus longtemps. Je m'en veux terriblement. Je n'ose même plus circuler dans l'appartement lorsqu'il est là afin de lui épargner ma présence. On en est rendu là.

Hier soir, j'ai eu droit à une lettre de trois pages dans laquelle il me dit mes quatre vérités. Il pense même que je ne l'ai jamais aimé. Il a hâte que je débarrasse. Et, peut-être pour me faire feeler cheap, il m'a aussi donné le cadeau de Noël qu'il m'avait acheté -- les deux premières saisons d'American Horror Story et une tasse à l'effigie de Central Perk (le café dans l'émission FRIENDS). Il n'aurait pas pu mieux choisir. Après avoir hésité, je lui ai aussi donné son cadeau, même si j'ai la certitude qu'il va s'en débarrasser dès que je serai parti.

On passe un temps des Fêtes dégueulasse et c'est de ma faute.

Joie.

Je la conserverai, sa lettre de trois pages... afin de me rappeler à quel point je suis capable de blesser les gens...

mardi 25 juin 2013

Les roues de l'autobus roulent-roulent-roulent (pas assez vite!)

Oh my god!!
 
J'ai postulé pour un emploi que je veux VRAIMENT et j'ai eu un appel aujourd'hui. La madame est super fine et on a même rigolé un peu au téléphone. Elle veut me rencontrer mardi prochain pour une entrevue. Et l'horaire, le salaire (et le travail en tant que tel) sont tout simplement PARFAITS!!!
 
Le seul hic (parce qu'il y a toujours un hic) c'est que ça commence vraiment tôt et qu'en bus je risque d'arriver flush flush flush... voire même deux minutes en retard si je ne cours pas assez vite.
 
MAUDIT QUE C'EST CHIANT!!!!!
 
Va falloir que je sois extrêmement persuasif à l'entrevue pour qu'elle puisse voir à quel point je tiens à ce travail...
 
...ou j'pourrais baisser mes culottes....

samedi 22 juin 2013

La fois où la vie m'a dit de manger d'la marde...

Il faisait un temps superbe, mais j'étais quand même en pyjamas passé deux heures de l'après-midi. F est venu me demander si j'avais envie d'aller faire du roller. J'avais pas envie mais j'y suis quand même allé pour ne pas avoir l'air trop plate.
 
On a une superbe piste qui passe derrière chez nous et qui se rend jusqu'aux chutes Niagara (je sais que c'est les chutes Montmorency, mais dans ma tête de «pas sportif» la piste avait l'air câlissement plus longue). On s'est donc rendu jusqu'aux chutes (Niagara, bon!) et moi j'étais tanné depuis au moins quarante cinq minutes mais je ne le disais pas. Cependant il y avait quand même quelques beaux mâles sur la piste (Saaaluuut les beautés!). Puis on a viré de bord (insérez la chanson «Alléluia»). F patinait loin devant moi, mais ça ne me dérangeait pas. J'avais mal aux pieds et j'étais tanné. Des fois on passait dans des tunnels sombres qui passent sous les routes et j'avais peur de me défoncer le crâne au plafond car ils ne sont pas tellement hauts.
 
Et c'est là que c'est arrivé. Au sortir d'un tunnel: BEDING-BEDANG!!! Sur le cul, les quatre fers en l'air et l'égo dans l'fin fond du fossé. Et il y avait des cyclistes qui venaient en sens inverse, mais qui ne se sont même pas arrêtés pour voir si j'étais correct. (Bravo, gens de Québec...)
 
Je me suis relevé et c'est à grands coups de «ciboire» intérieurs que j'ai fini par rejoindre F qui s'était arrêté beaucoup-beaucoup-beaucoup plus loin car il venait de se rendre compte que je ne le suivait plus depuis un bon moment. Il m'attendait. Il se demandait où j'étais.
 
Il m'a vu arriver en beau fusil chargé d'un regard meurtrier.
 
On s'est assis quelques instants, le temps que je reprenne mes esprits (et que je ramasse mon égo qui revenait de rigaud). Lorsque je me suis senti près à repartir, j'ai tâté mes poches et non pas ma poche pour me rendre compte avec une soudaine haine envers la vie que j'avais perdu mon cell...
 
FUCK YOU LA VIE!!!
T'ES YINKE UNE GROSSE CÂLISSE!!!
 
On a dû virer de bord et retourner sur les lieux du drame. On a réussi a retrouver mon cellulaire, caché au fond d'un buisson... mais j'arrivais même pas à être soulagé tellement j'étais tanné de la vie. J'avais mal partout, j'avais chaud, j'étais complètement écœuré et j'avais hâte d'ôter mes patins.
 
Lorsqu'on a fini par arriver relativement proche de chez nous, on les a enlevés. Même F commençait a être tanné. On a parcouru les derniers cinq cent mètres nus-bas (non je ne dirai pas «en pied de bas» parce que c'est une expression franchement laide) et on est rentrés chez nous.
 
Je ne crois pas que F me redemandera d'aller faire du roller. C'était ma première et DERNIÈRE randonnée de l'été.

Edit: Juste pour que ce soit clair: c'est pas le fait d'avoir perdu mon cell qui m'a mit en maudit. C'est d'avoir été obligé de virer de bord pour aller le récupérer...

lundi 15 avril 2013

Un an plus tard, une tite tite réflexion

Presque un an a passé depuis mon dernier message ici et je reviens. Surtout pour mettre ma réflexion par écrite. Parce que je me rend compte que dans le fond, c'est moi le problème. Mais c'est pas la peine de lire; je ne reviens pas bloguer. Je pense seulement que si j'écris, ce sera peut-être plus clair. Peut-être.
 
Les amis.
 
La mauzus de question des amis.
 
J'en ai pas vraiment des amis. J'ai des tonnes de connaissances, mais très peu de VRAIS amis. Et les deux ou trois que j'ai sont des filles. J'ai rien contre les filles, là ! Même que je me suis souvent dit que ma vie aurait été plus facile si j'en avais été une (sauf que je serais probablement une hétéro boutch-pas-d'classe-qui-sacre-trop).
 
Toujours est-il que dans le temps que je bloguais j'avais mentionné que ça me manquait d'avoir des amis gays.
 
Well!.... ça me manque toujours aussi cruellement.
 
C'est arrivé à quelques reprises que j'en rencontre avec qui j'aurais aimé ça aller plus loin (pas pour fourrer, là! je parle D'AMITIÉ!) mais à chaque fois je n'ai rien fait pour provoquer quoique ce soit. On dirait que j'ai peur parce que je suis plate... J'ai 30 ans 31 ans mais pourtant dans ma tête c'est comme si j'étais déjà à la retraite. J'haïs les bars, j'ai zéro attirance pour le milieu gay... La plus part tous les amis de F ont des enfants (pis moi j'aime pas ça les enfants) alors nos soirées se résument à des soupers chez l'un ou chez l'autre de ses amis et en général on sort le vin... et un jeu de société.
 
J'aime ça ces soirées-là (quand les enfants ont été préalablement dompés chez une gardienne)....
 
Sauf que...
 
Ça existe-tu des gays plates dans notre genre? Des gays plates de notre âge, qui ne pensent pas juste à sortir au Drague, qui ne courent pas les défilés de la fierté avec des plumes plantées partout ou qui ne veulent pas juste fourrer à gauche et à droite?
 
On s'est fait un profil sur Gay411 pour se trouver des amis... La joke!! Depuis au-dessus de deux ans, on a jasé avec gros max trois personnes et on a fait aucune rencontre. Il y a deux couples a qui on avait déjà parlé (pas via Gay411) mais le premier couple, bien que très gentil, m'intimidait parce que j'étais convaincu d'être trop ennuyant pour eux et le deuxième couple ben... ben là j'ai même pas d'excuse. Ils étaient sympathiques et tout, mais j'ai rien fait pour provoquer la sortie à quatre.
 
Dans le fond, c'est moi le problème.
 
... pis le site blogger est rendu bizarre...

dimanche 15 mai 2011

La fesse au vent...

Question: Les gars, vous achetez vos vêtements où? Le week-end dernier, je suis allé au Jeans Bleu à Place Fleur de Lys et j'ai ai acheté trois morceaux de linge. Un jeans et deux t-shirts. J'ai lavé le tout (eau froide et pas de sécheuse) puis j'ai porté l'un des t-shirt. Le lendemain je me suis rendu compte qu'une couture avait lâchée au niveau des épaules...


J'ai porté le jeans trois fois et hier je me suis rendu compte qu'il avait fendu en arrière! Et pour mal faire, j'étais chez F alors ce matin j'ai dû partir tôt, le derrière au vent, afin de ne pas croiser trop de monde sur la rue.


Évidemment, je n'ai plus la facture... j'ai donc mit 85$ aux poubelles.


Je répète donc ma question: les gars, vous les achetez où vos vêtements?!

mardi 15 mars 2011

Nouvelle job - prise 2

Jeudi dernier je disais que j'allais passer une entrevue pour un travail «shitteux»... eh bien j'ai eu la job et je commence demain... à 5h00 du matin.

Donc hier soir je suis resté jusqu'à minuit sur le site d'emploi Québec et j'ai envoyé six nouveaux CV ailleurs... et J'ESPÈRE vraiment me faire appeller pour une entrevue et avoir l'un des six emplois pour lesquels j'ai postulé...

jeudi 10 mars 2011

J'tanné!

J'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tanné, j'tannéééééé!.....

... mais au moins, j'ai une autre entrevue demain. C'est pour un travail un peu shitteux, mais ce serait quand même mieux que de rester à la maison à ne rien faire.

Les dernières nouvelles ? Je me suis lancé à corps perdu dans la lecture des romans de Graham Masterton (mon nouvel amour après Patrick Senécal); j'ai passé trop de temps sans désinfecter mon nombril et il a un petit peu infecté mais là ça va mieux (opération du mois dernier... ça fait un mois, joualvaire! je serais supposé être correct, non?); j'ai un rendez-vous demain matin avec une conseillère d'orientation et si elle ne me donne pas un résultat intéressant je vais me coucher par terre et faire le bacon dans son bureau en hurlant (pour vrai); je me suis mit chum avec une mémé de Charlesbourg; j'ai fait un tri dans mes vidéocassettes (oui, oui... des "VIDÉOCASSETTES"... pour les plus jeunes, eh bien sachez que les vidéocassettes ça venait avant les blu-ray et les dvd) et j'en ai 136 dont je dois me débarrasser; je commence à trouver que lorsque Willy miaule ça a le même son que mon prénom (mon vrai prénom); y'a tellement d'électricité statique dans mon appart que je m'électrocute sur tout ce que je touche... pis à part ça, ben j'tanné de ne rien avoir à faire.

Pis vous autres? Quoi de neuf ??

lundi 14 février 2011

Qui dit mieux ?

- Perdre son nouvel emploi jeudi après-midi parce qu'on est deux en entraînement, qu'ils ont seulement besoin d'une personne et qu'on est pas le meilleur...

- Commencer à éprouver des douleurs au ventre en soirée et ne pas dormir de la nuit à cause de ça...

- Vomir le vendredi matin, mais quand même prendre son courage (et ses CV) à deux mains pour aller chercher de l'emploi malgré son mal de vendre...

- Tout laisser tomber à 11h00 am et prendre le chemin de l'hôpital le plus près. Passer une heure à l'urgence, plié en deux avec les larmes aux yeux jusqu'à ce que la préposée à l'accueil aille voir elle-même le médecin pour lui dire qu'il y en a un dans la salle d'attente qui a vraiment pas l'air de bien aller...

- Éclater en sanglots dans le bureau du médecin, être placé dans une chambre d'isolement de l'urgence (lire: sur une civière placée dans une salle de toilettes) au cas où on aurait une gastro.

- Passer tout l'après-midi à pleurer parce qu'on a mal ET qu'on vient de réaliser que PERSONNE ne sait où on se trouve...

- Passer des radiographies et un taco en fin d'après-midi, être épuisé et affamé parce qu'on est vendredi soir et qu'on a rien mangé depuis 24 heures...

- Se faire dire qu'on fait une crise d'appendicite et qu'on doit être transféré dans un autre hôpital parce qu'il n'y a personne pour nous opérer ici...

- Être transféré et opéré rapidement, puis se réveiller dans la salle de réveil et commencer à vomir partout...

- Se re-réveiller seul dans une chambre obscure, à X heure de la nuit, avec un patient qui se lamente dans la chambre d'à côté, passer une nuit difficile parce qu'on a mal dès qu'on bouge, mais avoir des crampes atroces dans les mollets vu qu'on ne bouge pas assez...

- Être ENFIN nourrit le samedi matin à 8h00, pouvoir quitter l'hôpital à 10h30, mais ne même pas être capable de mettre ses bas tout seul...


* * *

Pour un week-end de rêve, on peut facilement trouver mieux! Heureusement, F est arrivé samedi matin pour m'aider à quitter l'hôpital et il m'a ramené chez lui. Une chance qu'il était là, parce que j'aurais vraiment vraiment rushé!

vendredi 28 janvier 2011

Mesdames, à vos chaudrons!

Je viens de voir passer ça sir Facebook.
Mesdames, vous savez ce qu'il vous reste à faire!

Cliquez pour agrandir

mercredi 12 janvier 2011

5 jours plus tard

Ça fait quelques jours que je n'ai pas écris ici. Sachez que ce n'est pas par manque d'intérrêt. J'ai quelques préoccupations personnelles...

J'avais déjà mentionné que j'allais bientôt me retrouver au chômage, eh bien j'ai su a date exacte il y a quelques jours au cours d'une réunion que j'attendais anxieusement. Le 1er Février, ce sera la fin.

Je garde l'oeil ouvert pour me trouver autre chose, mais ce n'est pas encore la panique. Après tout ils vont nous payer environ 6 semaines après la fermeture, en plus de nos vacances accumulées. Et j'ai quelques pistes où aller porter mon CV.

Est-ce que ça me rend triste ? Oui, un peu. Mais pas parce que j'aime ma fucking job de marde... c'est plutot que j'adore certains de mes collègues et que je sais qu'on ne se reverra plus souvent. Même ma bonne amie Gwyneth, je risque de ne presque plus la revoir.

Mais bon, il nous reste Facebook, non ?

Quand je suis allé vivre à Montréal, il y a quelques années, j'ai appris une journée avant de déménager que je n'aurais pas l'emploi que j'étais supposé avoir là-bas. Mais j'ai réussi à survivre sans emploi dans une ville inconnue pendant environ un mois....

... donc perdre ma job à Québec, c'est d'la p'tite bière pour moi! héhé...

Je vous tiendrai au courant des prochains développements, c'est promis.
_________________

**Et, sans lien avec le sujet, un gros merci à LeadPipe qui m'a trouvé un site pour créer des nouvelles couvertures de Martine (celui que j'utilisais étais fermé depuis des mois). Si l'inspiration vient, je vous promet plein de nouvelles niaiseries sur mon blog!

lundi 3 janvier 2011

J'ai mordu à l'hameçon

Hier, nous sommes allés voir le film L'appât, qui met en vedette Rachid Badouri et Guy A Lepage... et on a été un peu déçus.

On s'attendait à rire un bon coup, mais à part quelques gags amusant, le gros du film est ordinaire et nous sert des répliques dans le genre RBO.

Dommage !

samedi 25 décembre 2010

Party de Noël ?

Eh non, je ne pouvais vraiment pas y échapper!... j'ai eu moi aussi un party de Noël avec des amis hier soir et c'est pas fini puisque ce soir ce sera dans la famille à F.

Mais il faut dire que la soirée d'hier à été très très improvisée à la dernière minute. Deux couples qui décident de se réunir, ils se disent qu'ils ne se casseront pas la tête et commanderont une pizza, deux enfants qui couraillent partout, aucune pizzéria ou restaurant ouvert, les deux couples se voient donc obligés de souper avec des restants de ragoût et de couscous et de natchos, l'alcool commence à couler, deux des convives se ramassent saouls et de très bonne humeur tandis que les deux autres sont sobres et que l'un des deux s'emmerde royalement.

Les deux personnes saoules ne formaient pas un couple.

Et moi, j'étais celui qui s'emmerdait...




C'est ça que ça me fait, Noël...

jeudi 23 décembre 2010

J'me sens comme lui...

mercredi 8 décembre 2010

Comment on fabrique ça une bombe ?

J'ai découvert cette nuit que le chasse-neige passe devant mes fenêtres plein plein de fois entre minuit et une heure du matin et qu'il repasse plein plein de fois entre quatre heures et quatre heures trente... et que mon lit en shake!

À quatre heures dix-huit du matin j'en étais venu à la conclusion que si je fais exploser la rue, le chasse-neige n'aura plus besoin de passer devant mes fenêtres...

mardi 30 novembre 2010

C'est donc ben d'la marde !

Que quelqu'un me dise que c'est une joke!
C'est vraiment la pire pub ever!!


mercredi 3 novembre 2010

Toujours vivant...

...mais pas au sommet de ma forme.

Je viens de passer plusieurs jours sur le cul à cause de ma grippe (elle achève, elle achève...). Je me suis donné à moi-même un coup de poing dans le nez en essayant d'arracher un fil qui dépassait de mon édredon (assez fort pour provoquer un mini saignement et un méga mal de tête). Je suis courbaturé, fatigué, déprimé.

Mais pire que tout: je suis déçu du nouveau roman de Patrick Senécal. Ça ça fait mal.

Je me suis précipité à la librairie hier pour l'acheter, n'hésitant pas à pousser les deux p'tits vieux qui se traînaient lentement devant moi.

Ma première déception a été de constater que ledit roman ne fait que 107 pages... 107?! oui, oui, 107! Moi qui m'attendais à une autre brique de 900 pages....

Ma deuxième déception a été lorsque j'ai commencé à le lire. C'est trop différent de ce à quoi il nous a habitué. Je suis rendu environ au quart du livre et.... c'est pas du Patrick Senécal.

Maintenant il ne me reste plus qu'une chose à faire: aller me flageller pour avoir dit du mal d'un livre de Senécal...

Je me sens sale.

J'ai l'impression d'être un traître.

jeudi 28 octobre 2010

Therapy-time (ben oui... encore!)

J'étais dans l'autobus et J'AI VU un travailleur de la ville traverser la rue avec plein plein de branches de sapin dans les bras.

Des branches de sapin, joualvaire!!

Qui dit branches de sapin, dit décorations de Nwël...

NNNNOOOOOOONNNNNNN !!!

J'haïs tellement ça, Nwël!

Sérieux, je dé-tes-te cette fête.

Dans ma famille, on a arrêté de faire des partys de Nwël quand j'avais environ 4 ou 5 ans... Je n'ai donc pas eu l'occasion de voir souvent le «Par'nwël». Au lieu des réveillons et des partys de famille, on se contentait (mes parents, ma soeur et moi) de se donner un p'tit cadeau pis d'aller s'coucher.

J'haïs ça, Nwël.

J'ai passé plein de Nwëls tout seul et la seule affaire qui m'embêtait là-dedans, c'était les regards de pitié que me lançaient ceux qui étaient au courant. J'aime pas ça Nwël, bon!

L'an dernier, F m'a invité dans sa famille. Ce sont des gens vraiment gentils et je suis toujours content d'aller les voir... mais à Nwël, je fige. Je ne sais pas comment dealer avec cette fête-là. Je ne sais pas comment me comporter durant ce genre de party.

Pendant que les gens normaux se donnent des becs et des frenchs à bouche-que-veux-tu, je reste là, complètement gelé et terrifié. Comme si j'étais dans un autre monde. J'ai pas connu ce genre de célébrations dans ma famille.... En fait, j'étais même pas à l'aise à l'idée de passer Nwël dans MA famille, alors imaginez quand je me retrouve face à une autre famille... Pourtant, la famille de F n'est pas gênante du tout et je les aime beaucoup.

C'est weird. J'ai besoin d'une thérapie.