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mardi 30 juin 2009

Bye bye le chien !

C'était il y a près d'un an et demi. Mon amie avait eu l'idée folle qu'on emménage dans une grande maison à louer. Après mille et un déboires, l'agente de location nous a fait signer le bail en spécifiant un bon trois fois en trente secondes que les chiens étaient INTERDITS et les chats «tolérés-mais-en-autant-que-vous-en-ayez-pas-dix».

Ça tombait bien, on en aurait trois.

Le premier février 2008, nous emménagions dans la maison. La première nuit, alors que je venais d'éteindre la lumière de ma chambre pour me mettre au lit - il devait être minuit - j'ai entendu des woof woof insistants venant de dehors. Tiens donc...

Je suis sorti du confort de mon lit pour aller regarder par ma fenêtre encore dépourvue de rideaux et qu'aie-je vu ? Un gros méga chien noir dans la cour du voisin d'en arrière qui jappait à s'en désâmer les cordes vocales.

La maison de mon voisin d'en arrière fait partie du même groupe de maisons que la mienne et on a le même proprio. POURQUOI IL A UN CHIEN QUI JAPPE ALORS QUE MOI JE PEUX PAS EN AVOIR ?!

Pitou a aboyé jusque vers une heure du matin.

Heureusement, toutes les nuits n'ont pas été comme ça depuis un an et demi. Mais il nous arrive quand même régulièrement de l'entendre japper.

Ce soir, alors que je revenais de travailler, j'ai vu le gars d'en arrière qui sortait des tableaux de sa maison pour les mettre dans un camion. Oh sweet Jesus!! Dites moi pas qu'il déménage ?? J'ai pas osé le lui demander vu que ça fait un an et demi qu'on est voisins et qu'on ne s'est encore jamais adressé la parole. Mais demain, je me tiendrai à l'affût pour voir s'il part réellement.

Edit:
Oh shit... me suis trompé de voisin; c'est pas celui qui a un chien qui déménage, mais celui d'à côté de celui qui a un chien... bordel !

lundi 29 juin 2009

La Jamaïque pour 60$

Les premiers frissons ont commencé à notre arrivé à Toronto. Même si nous avions quitté Québec depuis quelques heures, je crois que je n'arrivais tout simplement pas à croire que MOI j'allais aller en Jamaïque.

F était un peu nerveux parce que c'était la première fois qu'il prennait l'avion et il craignait de faire une crise de panique. Mais tout s'était bien passé pour nous deux. Nous avions quitté Québec à cinq heures du matin, après une nuit blanche (nous étions trop énervés pour dormir!).

Arrivés à Toronto, nous avons été surpris de la douceur de la température. Bien que c'était la mi-février, nous aurions pu nous promener en pantalons courts. Il était à peine huit heures du matin et un faible brouillard était encore visible. Nous sommes entrés dans l'aéroport pour prendre un petit déjeuner en vitesse, puis on s'est précipités au quai d'embarquement pour monter dans le gros boeing qui allait nous emmener au soleil.

Alors que les passagers commençaient à embarquer, un employé est venu nous voir, F, moi et deux amis de F. Il a demandé à voir nos cartes d'embarquement, puis nous a dit de l'attendre. Et il est parti... avec nos quatre cartes d'embarquement...

On se demandait ce qui se passait. Y avait-il un problème ? Après plusieurs minutes d'attente, nous commencions sérieusement à perdre patience. L'homme est réapparut et nous a expliqué qu'ils avaient vendu trop de billets pour le nombre de places disponibles (woops!)... Il nous a donc remis quatre nouvelles cartes (fiou!) en précisant que nous serions installés en première classe!

C'était comme dans les films ! Les sièges étaient pratiquement des petits cubicules personnels, on pouvait se coucher complètement à l'horizontal, les repas ET l'alcool étaient GRATUITS et le personnel nous traîtait comme si on était des millionnaires.

Bien qu'on était épuisés de notre nuit sans sommeil, on avait la ferme intention de profiter de ce voyage en première classe. F en a profité un peu plus que moi puisque je dormais lors des deux services pour les repas. J'aurais pu tout simplement demander à l'hôtesse de m'apporter quelque chose même si le service était déjà passé, mais j'étais trop timide, n'étant pas habitué de voler dans de telles conditions. De toute façon, après le deuxième service, lorsque l'hôtesse m'a vu me lever, elle s'est littéralement précipitée vers moi pour m'offrir quelque chose en disant qu'elle m'avait vu dormir et n'avait pas voulu me réveiller. Non, mais c'est tu pas du service, ça ?!

Plus tard, je suis allé réveiller F qui s'était assoupit. J'avais vu par le hublot les premières îles en-dessous du boeing. Nous serions à Montego Bay dans environ une heure, et comme c'était le tout premier voyage de F (remarquez, je n'étais jamais allé aussi loin moi non plus), je ne voulais pas qu'il manque ça.


Une fois arrivés à l'aéroport de Montego Bay, nous nous sommes rendus compte à nos dépends que même si le bagagiste offre gentiment de porter nos valises jusqu'à l'autobus en nous les arrachant pratiquement des mains, il exigera un pourboire une fois devant l'autobus. Et si vous n'avez pas d'argent liquide sur vous, il ira même jusqu'à vous bousculer... enfin bref... nous le saurons la prochaine fois.

Ça a été suivi d'une randonnée dans un bus dont on doutait sérieusement qu'il se renderait jusqu'à l'hôtel. Quel soulagement ce fut lorsque nous avons pu en descendre et admirer le magnifique resort qu'on nous avait réservé ! Il avait plut le matin, alors que nous étions toujours dans l'avion, mais là il régnait un beau soleil et il y avait des arcs-en-ciels partout. C'était tout simplement merveilleux !


On a dû attendre environ une heure pour prendre possession de la clé de notre chambre. Au départ, on pensait que ce serait un gros hôtel, mais c'était plutot comme des petits condos trois étages, comprenant trois chambres par étages.



Les jours qui ont suivit ont été tellement hallucinants! Tout ce qu'on mangeait ou buvait était gratuit. Pour quelqu'un qui est habitué de voyager, ça peut parraître très banal, mais pour moi qui n'étais jamais allé plus loin que les Îles-de-la-Madeleine, c'était carrément du délire ! On commençais à boire dès dix heures le matin, faisant des allers retours entre le bar dans la piscine et la plage. F, qui n'avait jamais mit les pieds dans la mer, était émerveillé. Malheureusement, lors de sa première baignade, il a mit le pied sur un oursin et il a boité toute la journée...




La troisième journée, nous avions une activitée trop malade de prévue le matin: on est allés faire de l'arbre en arbre en pleine jungle ! Avec mon harnet autour de la taille, je me sentais prêt à tout, mais avant la première lancée, mes genoux ont commencé à jouer des castagnettes. J'étais terrorisé, mais pour rien au monde je n'aurais rebroussé le chemin ! Pendant plus de deux heures, on est passés d'arbre en arbre, volant à toute vitesse au-dessus de la jungle, riant et criant comme des fous.

Après ça, on a marché un peu dans la jungle, escortés par un guide, puis une fois sortis nous avons fait un arrêt à une petite boutique pour acheter des bouteilles d'eau. Sur le toit de la boutique se tenait un vrai paon. Il était tellement beau! Malheureusement il n'a pas fait la roue.

Cette petite escapade dans la jungle a été suivie d'un après-midi à Margaritaville (ça existe pour vrai!) et puis nous sommes revenus au resort où une super soirée avait été organisée. Les tables avaient été sorties dans les rues et un véritable festin nous attendait. On a mangé, on a dansé, on s'est amusés, puis c'est complètement épuisés et brûlés que nous sommes revenus dans nos chambres.




Les journées qui ont suivit, on les a passées à boire, à bronzer, à nager, à acheter des souvenirs. J'ai fait une excursion en bateau, j'ai nagé avec un masque et un tuba et j'ai vu tout plein de poissons. Lors de la dernière journée, nous avons eu l'avant-midi libre pour flâner, et vers midi nous sommes repartis en direction de l'aéroport.



De Montego Bay jusqu'à Toronto nous n'étions plus en première classe, mais nous ne nous sommes pas plaint. J'ai regardé un film pour passer le temps. Nous pouvions aussi voir sur l'écran le parcours que faisait l'avion. Tout aurait pu être parfait mais les choses se sont corsées lorsqu'on a commencé à descendre vers Toronto. Je ne sais pas exactement ce qui m'est arrivé, mais j'ai eu une crise de panique. Ça a duré jusqu'à ce que je sois sorti de l'avion et que j'arrive aux douanes. Là seulement j'ai réussi à me calmer. Plutot ironique quand on pense que c'est F qui avait peur de paniquer quand nous sommes partis de Québec...




Comme c'était un voyage que mon chum avait gagné, le tout m'à coûté un passeport et 60 dollars de souvenirs. Rien de plus. Encore aujourd'hui j'ai du mal à croire à ma chance d'avoir vécu ça !

C'est toujours drôle !

Avouez que quelqu'un qui plante, c'est toujours drôle. Et ça l'est encore plus lorsque c'est devant un publique !


Babine

On a regardé Babine hier. Le film est vraiment vraiment bon, mais je dois dire que la fin avec le taureau nous a laissé un peu perplexes... c'était quoi le rapport ?

Est-ce que vous l'avez vu ? Avez-vous trouvé vous aussi que la fin était un peu......... weird ? Personnellement j'ai trouvé que ça venait gâcher un très bon film.

À part ça, le week-end s'est poursuivi sur une même note relaxe. Rien de particulièrement excitant à signaler.

See you later !

*Oh, et ce coup-ci, j'ai laissé un t-shirt chez mon chum.... mais bon, c'est pas nouveau! Je vais finir par m'oublier moi-même...

samedi 27 juin 2009

Plutot bof...

Bon, orages depuis deux jours, averses torrentielles aujourd'hui... C'EST PLAAAAAATE !! Sérieux, que faire un jour de pluie ? Je vais aller voir mon chum tantôt, mais côté "activités sociales" ça risque d'être très tranquille.

Mais c'est vrai que la température est plutôt déprimante depuis quelques temps. C'est soit hyper chaud et humide, soit orageux et pluvieux. Ça n'inspire pas trop à bouger. J'aimerais avoir quelques belles journées ensoleillées (pendant une fin de semaine) et pouvoir me taper un après-midi à Valcartier.

Remarquez, ça fait un bout qu'on se dit qu'on devrait retourner jouer au billard ou que ce serait amusant de se taper une partie de mini-golf avec des amis, mais y'a toujours un empêchement qui survient. On essera de regarder ça ce soir. Dans le pire des cas, on se trouvera un troisième larron pis on se tapera un trip à trois ! (joke!)

Tiens, je pense à ça... demain ça fera un an que je connais mon chum... on fêtera peut-être ça. Ou alors on attendra à la fin juillet, lorsque je reviendrai de voyage, pour fêter nos un an de couple. Heille, un an pis ça va encore bien... j'ai battu mon record !

jeudi 25 juin 2009

Paris un jour, Paris toujours...

Ce soir, je n'avais vraiment pas grand chose à faire. Avec la chaleur, le moindre mouvement devenait pénible. Je me suis donc évaché devant Mon Fantôme d'amour... Ne me jugez pas!! J'adoooore le personnage de Oda Mae Brown, joué par Whoppi Goldberg. Et outre l'histoire d'amour, on y retrouve un bon suspense et plusieurs passes très drôles. Bref, j'ai regardé Ghost ce soir. Si vous n'êtes pas contents, allez bloguer ailleurs.

Lorsque le film a prit fin, j'ai zappé jusqu'à ce qu'une ampoule commence à se former sur mon doigt, puis je me suis arrêté sur Musique Plus. C'était la télé-réalité de Paris Hilton. Celle où elle se cherche une nouvelle meilleure amie...

WHAT THE FUCK ?!

J'en avais déjà entendu parler, mais je n'étais jamais tombé sur aucune émission avant ce soir. Une bande de connes fardées comme des putes se disputent le status de "meilleure amie" pour notre blonde starlette. Deux d'entre elles ont été éliminées ce soir (et ce n'est même pas Paris qui a éliminée la première fille). Et en cours d'émission, on se rend très rapidement compte que mademoiselle Hilton ne se cherche pas une amie, mais plutot une faire-valoir.

Mais en a-t-elle vraiment besoin d'une autre ? C'est ridicule. Et on ne peut même pas l'accuser de faire cette émission pour l'argent parce que ça aussi elle en a amplement.

R.I.P Michael Jackson

Michael Jackson n'est plus.

Il a été retrouvé inconscient à son domicile cet après-midi, puis transféré à l'hôpital où on nous a informé qu'il était plongé dans un profond coma. Puis aux alentours de 18h30 son décès a été confirmé.

Oui, il était étrange autant physiquement que psychologiquement, il avait une obsession des enfants, il avait vécu une vie difficile et n'avait plus complètement les pieds sur terre... mais avouons qu'avec sa musique, il avait marqué notre époque !

Aujourd'hui, c'est toute une page de l'histoire de la musique qui est tournée.

40° à l'ombre

J'avais presque oublié à quel point c'est difficile de travailler dans une cuisine lorsque la température est aussi élevée. Mon après-midi a été des plus pénibles sous cette chaleur accablante et j'avoue que présentement j'envie terriblement les gens qui travaillent dans un bureau avec air climatisé et tout... mauzus que j'aurais dû étudier plus fort à l'école !

Avec ça, je n'ai même pas d'air climatisé chez moi.... ma soirée se résumera donc à porter le moins de vêtements possibles tout en buvant des trucs glacés.

mercredi 24 juin 2009

C't'une joke ?

Ok... J'étais entrain de travailler, avec la radio qui jouait derrière moi, lorsque soudainement l'animateur a annoncé que Jeff Fillion (l'animateur de radio controversé) était dans la course à la mairie de Québec pour remplacer Régis Labeaume...

Jeff Fillion ? Sérieux ??

C'est tu juste moi qui pense ça ou bien si par malheur il devait être élu on serait réellement dans le kéka ?

Pourquoi il ne se contente pas juste de prendre son trou, le Fillion ? Il a ben beau gratter pour faire parler de lui partout et aussi souvent qu'il le peut, mais un moment donné faudrait pas trop charrier.

Jeff Fillion, maire de Québec ? Euh.... non....

Le pire, c'est que ça m'intrigue...

mardi 23 juin 2009

Bonne St-Jean !

C'était ce soir qu'avait lieu le party de la St-Jean sur les Plaines. Y êtes vous allés ? Moi non. J'ai prit l'habitude de fuir ce genre de rassemblement. Je ne me sens pas du tout dans mon élément lorsque je suis entouré de milliers de personnes en boisson.

En fait, qu'ils soient en boisson ou non, je n'ai jamais été à l'aise au milieu d'une foule. Je me sens étouffer et je deviens d'une humeur massacrante. J'évite les gros shows de ce genre-là depuis toujours.

Et qui plus est, à 27 ans et demi, je me considère trop vieux pour me taper une cuite de la mort en hurlant les paroles de Beau Dommage. Le pire, c'est que ce n'est pas faux; j'ai réellement du mal a me remettre lorsque je prend une brosse (chose qui arrive vraiment très rarement) et comme je travaille demain après-midi, je vois encore moins l'utilité d'aller festoyer avec une bande de moutons qui prétendent être fiers d'être Québecois mais qui ne pourraient pas en expliquer les raisons.

Bonne soirée à ceux et celles qui iront fêter ce soir et/ou demain et bon lendemain(s) de veille ! Si le mal de tête est trop intense après la soirée, prennez trois cachets d'aspirine avant le dodo et serrez les dents en attendant que ça passe.

Apocalypse 2012

Je viens de regarder un documentaire qui parle de la fin du monde annoncée le 21 décembre 2012. C'était dans une émission à Canal D, ça dure une heure et c'est super intéressant (quoique quand même un peu troublant...)

Si vous voulez le voir, cliquez ICI

lundi 22 juin 2009

Tête de linotte !

Bon, ben pour la 27e année consécutive, j'ai oublié l'anniversaire de mariage de mes vieux. C'est au début juin et normalement j'y pense à la fin de l'été, mais cette année j'étais une semaine en retard... c'est mieux que rien !

Heureusement, mes parents ne le prennent pas personnel. Surtout que je ne manque jamais de leur envoyer des cartes de souhaits à toutes les autres occasions.

Cette année, ça fait 36 ans qu'ils sont mariés. Ils ne sont pas du genre à aimer attirer l'attention sur eux, alors ils ne célèbrent jamais cet anniversaire. Toutefois ma mère m'a dit que quand ça fera 40 ans, ils vont probablement faire un petit quelque chose pour l'occasion.

36 ans qu'ils sont mariés... Quand je pense à moi qui n'a encore jamais vécu plus de 15 mois avec la même personne, ça me déprime un peu...

Un presqu'accident

Hier, alors que j'attendais l'autobus avec mon chum, nous avons faillit être témoins d'un accident. Nous étions sur une rue qui fait une courbe assez prononcée, avec une autre rue qui la traverse juste avant la courbe (de sorte que lorsqu'on traverse ce coin, on ne voit pas ce qui s'en vient dans la courbe)

Un jeune homme à vélo venait de sortir de la courbe et traversait rue suivante alors qu'une camionnette arrivait justement dans cette rue. Le chauffeur, qui voulait sauver du temps en passant à pleine vitesse sur la lumière jaune, a heurté la roue arrière du vélo.

Si le cycliste était passé une demi seconde plus tôt, la camionnette l'aurait heurté de plein fouet !

Le jeune cycliste a eu le bon réflexe de mettre rapidement un pied au sol pour éviter une chute qui aurait pu être très grave. Le chauffeur de la camionnette est venu s'assurer que tout allait bien.

D'où on se trouvait, on a clairement vu que c'était le conducteur de la camionnette qui était dans le tort. Cependant le jeune cycliste a rassuré tout le monde puis il est reparti sans faire d'histoires. Il a nettement plus de contrôle que moi parce que je sais qu'à sa place, j'aurais pété les plombs après le chauffard !

dimanche 21 juin 2009

J'ai marché parmi les cadavres

Et puis, votre week-end s'est bien passé ? Avez vous pensé à appeller votre père pour la fête des pères ? Pour ma part, je suis fier de dire que j'y ai pensé ! Mais mon week-end a été quand même assez relaxe.

Vendredi soir, j'ai regardé le remake de Vendredi 13. Ça faisait longtemps que je n'avais pas mit autant d'espoirs sur un film d'horreur! C'aurait pu être mieux, mais selon moi c'était quand même une bonne adaptation. Il faut dire que je ne suis pas tellement difficile pour les films d'horreur: quelques giclées de sang, deux ou trois cadavres et je suis comblé !

Toujours sur le thème des cadavres, je suis enfin allé voir l'exposition Bodies. Nous y sommes allés samedi et c'était la journée idéale, avec la température de cul qu'on avait... L'exposition était intéressante et très impressionnante. Particulièrement le bout avec les foetus. Nous nous étions réservés des guides audio pour avoir le maximum d'informations et on a même eu une jolie photo de nous avec des squelettes rajoutés par photoshop. Si vous avez la chance d'y aller, ça vaut la peine.

Dimanche, on a profité des quelques heures de soleil de l'après midi pour s'élancer en kayak sur le lac de la base de plein air. C'était mon premier tour de kayak de la saison et j'ai très hâte d'y retourner. Probablement a cause du soleil, on a passé le reste de l'après midi à somnoler, puis j'ai préparé un petit souper pour mon chum. Habituellement c'est toujours lui qui cuisine et tantôt il disait que ça lui faisait bizarre d'être assis à me regarder préparer le repas. C'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd; j'ai maintenant mon excuse pour LE regarder faire à manger! héhéhéhé!

jeudi 18 juin 2009

Je suis fatiti !!

C'est hallucinant! Depuis le début de la semaine, peu importe à quelle heure je me couche le soir, dès six heures du matin j'ai les deux yeux grands ouverts!

Au début, j'ai cru que c'était parce que je me couchais trop tôt, alors j'ai veillé jusqu'à deux heures du matin, mais je me suis encore réveillé hyper tôt. Et certaines nuits, je les passe carrément à me retourner dans mon lit pendant des heures. J'ai chaud et quand j'enlève le drap j'ai froid, j'ai soif et quand je vais boire ça me donne envie de pipi... Je réussis à me rendormir, mais dès qu'approche six heures, mes yeux s'ouvrent. Et malgré ma trop courte nuit, je n'arrive plus à me rendormir.

Heureusement, avec mon horaire de travail, je peux me permettre de me recoucher l'avant midi avant le boulot. N'empêche que j'aimerais recommencer à faire des nuits "normales"...

Pourtant, y'a rien qui me tracasse ces temps-ci. Je ne vois pas pour quelle raison j'ai autant de difficulté à dormir...

mercredi 17 juin 2009

Krazy kat !

Google Analytics

J'ai fait une petite saucette dans mon Google Analytics et voici ce qui vous mène chez moi:

-Papier buvard Jean Coutu (j'sais ben qu'on trouve de tout, mais pour du buvard, vas voir ton dealer)

-Whippet Congelé (tellement trop bon! Miam!!)

-Petite naine cherche un nain pour baiser (c'est cuuuuuuute!!)

-Spéculum jumbo (de kessé?!)

-Quand j'étais quinze ans j'ai vu un chose très intéressant (c'était sûrement pas dans un cours de français...)

-Plus laide carte de la fête des mères (crime... tu l'aimes, ta mère!)

-Mon mari aime se travestire quelle boîte aller (qu'est-ce que tu dirais d'un cabinet d'avocats?)

-Martine refuse la sodomie (allez gérer ça avec ELLE)

-Ma tante a des belles cuisses (et toi t'as des drôles de fantasmes...)

-Fétichisme gants de caoutchouc (j'en porte quand je travaille... Agrrr!)

-Comment mettre Meurtres à la St-Valentin en 3D (moi aussi je me le demandais, mais faut juste tourner le CD de bord)

-Dring Dring réponds au téléphone (euh.... tu cherchais quoi ?! le mode d'emploi pour répondre au téléphone ??)

mardi 16 juin 2009

Post en deux parties

Première partie:
J'ai vraiment la gueule d'un gars à qui on aime raconter les histoires les plus plates qui soient. Depuis des années, je remarque que les gens (particulièrement ceux qui n'ont pas de vie) aiment me confier des anecdotes dignes d'un coup de balle dans la tête tellement elles sont plates.

Encore aujourd'hui, un homme est venu à mon travail pour réparer une partie du plafond. Cet homme, je ne l'avais jamais vu avant. Je ne connais même pas son nom. Eh bien ça ne faisait pas deux minutes qu'il était dans la cuisine qu'il me confiait déjà qu'il aime regarder l'émission Call TV (vous savez, ce foutu jeu questionnaire à la con qui passe tard en soirée et qui est animé par une greluche incapable d'épeler "PYTHON" correctement). Il me disait même que lorsqu'il travaille très tard, il l'enregistre pour pouvoir le regarder le lendemain...

Euh.... s'cuse, buddy, mais ça te donne quoi ? C'est un jeu questionnaire diffusé en direct pour gagner de l'argent.... à quoi bon l'enregistrer ?!? C'est pas comme s'il enregistrait Top Modèle ou Les Feux de l'amour... Je l'aurais quand même jugé, mais j'aurais compris.
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Deuxième partie:
Lorsque je suis revenu du travail, la tête pleine d'anecdotes plates à propos de Call TV, j'ai décidé d'aller faire un peu de roller sur la piste derrière chez moi. Quelle déception ce fut ! L'asphalte de la piste est complètement dégueu ! Quand on patine, on sent chaque putain de roche ayant servi pour faire l'asphalte... et ça va hyper mal patiner là-dessus.

À un moment, alors que je descendais une côte à pleine vitesse, j'ai vu devant moi un enfant d'environ sept ans sur une trotinnette, accompagné de son père qui visiblement, bien qu'il portait des rollers, n'en avait jamais fait de sa vie.

Alors que j'approchais d'eux, j'ai essayé de me tasser le plus possible pour éviter le p'tit maudit qui restait en plein milieu de la piste avec sa foutue trotinnette. Plus j'approchais et plus j'étais convaincu qu'il allait tomber. Je me tenais prêt...

Eh bien comme de fait, au moment où j'étais à environ deux mètres de lui, le p'tit câlisse s'est planté salement devant moi. À la vitesse à laquelle j'allais, je n'avais pas le temps de freiner. D'un côté j'avais une rangée de petites roches qui bordait la piste avec la rue juste après, et de l'autre côté j'avais de connard d'enfant qui n'a jamais appris qu'on ne reste pas en plein milieu de la piste quand on est pas foutu de savoir se tenir sur une trotinnette.

J'ai juste eu le temps de lever une jambe pour ne pas lui écraser les doigts avec mes roues.

Lorsque je suis repassé près d'eux, en revenant, je me suis contenté de lancer un regard meurtrier à son père.

C'est n'importe quoi !! / It's n'importe what !!

Herbal Essence: J'aime ça un petit coco tout nu. Mais je comprend quand même que certains hommes ont du mal à accepter de faire de la calvitie. Ce que je comprend moins, c'est qu'un homme rendu à la mi-cinquantaine pense sérieusement que personne ne se rend compte que sa méga touffe de cheveux bruns pétant au travers laquelle on ne distingue pas la moindre trace d'un cuir chevelu est en fait une ho*tie de perruque. J'en ai croisé un comme ça.

Une question d'hygiène: En revenant de chez mon chum, alors que je montais dans l'autobus, j'ai vu un jeune qui se brossait très énergiquement les dents (DANS l'autobus). Quand il avait la bouche pleine de mousse, il avalait peu à peu jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien, puis il recommençait à se brosser les dents. Je ne sais pas depuis combien de temps il faisait ça, mais ça a duré quinze minutes après que je sois monté dans le bus (j'ai chronométré).

Plein plein de cadavres: C'est ce samedi qu'on va voir l'exposition Bodies ! J'ai hââââte !!!

La rumeur court: J'ai entendu dire que mon ancien boss (qui est parti depuis une semaine) s'ennuyait beaucoup à son nouvel emploi et qu'il trouvait que ce n'était pas comme ce à quoi il s'attendait. Moi, je dis que d'ici la fin de l'été il revient travailler à la pâtisserie.

J'ai besoin d'une thérapie: J'ai rêvé que je cherchais un bébé mouche. Je ne me rappelle plus pour quelle raison j'en avais besoin, mais il m'en fallait un. Dans mon rêve, alors que je cherchais, je suis tombé devant un bébé araignée et je me suis dit que ça ferait l'affaire. Je n'osais toutefois pas le prendre dans mes mains alors, pour être sûr de ne pas lui toucher trop longtemps avec mes mains, je me le suis sacré dans la bouche ! Quand j'ai voulu le recracher, je me suis rendu compte que je l'avais avalé. C'est là que je me suis réveillé, le coeur au bord des lèvres...

Bond, James Bond.

Je suis parti sur un trip James Bond, depuis ce week-end. Ça me surprend parce que c'est un genre de film qui ne m'a jamais attiré. Le premier que j'ai vu, c'était Casino Royale au cinéma, puis Quantum of Solace, il y a quelques semaines. Comme je les ai aimé, je me suis dit que je me taperais quelques autres films de la série.

C'est pendant que j'errais comme une âme en peine ce week-end chez HMV que je me suis rendu compte que plusieurs films de James Bond se vendent à 6$... J'ai donc filé vers le rack à DVD et j'en ai acheté quelques uns. J'ai choisi ceux avec Pierce Brosnan. Jusqu'à maintenant j'en ai regardé deux et j'aime toujours ça. Cependant on dirait que je préfère Daniel Craig pour personnifier l'agent 007.

J'en rachèterai surement un ou deux autres le week-end prochain.

dimanche 14 juin 2009

Le soûlon du samedi soir

Tel que prévu, nous sommes allés voir la pièce Les Grandes Chaleurs samedi soir avec mon chum et deux amies. C'était tout simplement génial ! Vraiment drôle et les acteurs étaient très convainquants. On a passé une super soirée !

En revenant, alors qu'on marchait vers le stationnement où la voiture avait été laissée, on s'est arrêtés pour jaser et j'ai vu un bonhomme qui venait vers nous d'une démarche plutot chancelante. Il nous fixait et alors qu'il arrivait derrière mon chum, il m'a regardé et a posé un doigt sur sa bouche en signe de silence. J'ai cru qu'il s'apprêtait à essayer de voler le portefeuille de mon chum alors je l'ai vite prévenu de faire attention, mais le soûlon s'est tout simplement arrêté près de nous et a commencé à babiller des phrases plus ou moins cohérentes...

On s'est éloignés un peu, mais il nous suivait. À ce moment, une voiture de police est apparue et une policière en est descendue. Elle devait être habituée à ce quartier de la basse ville - et aux ivrognes qui le fréquentent - puisqu'elle s'est adressée directement à notre soûlon en lui disant: «Encore toi ?»...

On les a laissés à leurs démêlés et nous sommes partis chercher la voiture dans le stationnement sous-terrain. Lorsque nous en sommes sortis, la voiture de police était toujours là et le soûlon était assis sur le trottoir, tentant vainement de faire croire à la policière qu'il était apte à retourner à ses occupations et qu'elle n'avait pas à s'en faire pour lui... pauvre type !

Dimanche, on en a profité pour se taper une petite randonnée de roller autour de la rivière Saint-Charles et jusqu'au Marché du Vieux-Port. C'est la première fois cette année que je sortais mes rollers et je m'attendais à être plus rouillé, mais tout s'est bien passé. J'étais quand même heureux lorsque nous sommes revenus chez mon chum... je pouvais reposer mes petits petons endoloris.

Je vais essayer d'en refaire un peu cette semaine. J'aimerais me mettre en forme rapidement avant le début officiel de l'été !

samedi 13 juin 2009

Y'en a des pires que moi !

Mes amis se moquent parfois de moi à cause de ma peur des clowns, mais quand on voit ce vidéo, on se rend compte que je suis loin d'être aussi pire que cette petite dame...

samedi, 2h15 du matin...

... et je ne dors pas.

J'ai fait un somme tantôt en revenant du travail et là je ne suis plus tellement fatigué. Mais bon, who cares ?! C'est samedi et je ne travaille pas! Je pourrai dormir toute la journée, si je veux!

Ce soir, je vais aller voir une pièce de théâtre avec mon copain. C'est Les Grandes Chaleurs, de Michel Marc Bouchard. Ils vont d'ailleurs sortir le film cet été. J'aime beaucoup le théâtre. J'en faisais au cégep, mais seulement pendant les cours. Je n'ai jamais osé me présenter à des auditions (et je le regrette un peu...)

Depuis quelques années, je n'ai pas eu beaucoup d'occasions d'aller voir des pièces, mais je crois que je vais me remettre à y aller plus souvent. Mercredi dernier, on est allés voir Les Feluettes. C'est un drame romantique entre deux hommes. Je ne connaissais pas cette pièce et j'avoue que j'ai eu un peu de mal à embarquer dans l'histoire puisque ce sont des personnages qui jouent d'autres personnages... Genre une pièce dans une pièce...

Et j'avoue avoir été déstabilisé lorsque l'un des comédiens s'est foutu à poil. C'était la première fois que je voyais un nu intégral au théâtre. Personnellement, je n'aurais JAMAIS eu l'audace de faire ça parce que je suis beaucoup trop complexé par mon corps. Je lève mon chapeau au comédien qui l'a fait.

Cependant, on dirait que cette scène m'a dérangé un peu. Ça m'a fait décrocher de la pièce... Je crois que s'il avait gardé ses sous-vêtements, ça n'aurait rien ôté à la symbolique de la scène. Mais bon, c'est mon avis à moi.

Selon ce que j'ai entendu dire, la pièce de ce soir, c'est une comédie très drôle. Et j'ai une amie qui joue dedans. J'ai vraiment hâte de la voir!

jeudi 11 juin 2009

Un petit vent de panique

Je suis crevé ! La journée au travail s'est super bien passée, mais le retour a été éprouvant !

D'abord, j'ai terminé de travailler une heure plus tard que d'habitude, ce qui est correct puisque ces temps-ci je ne fais pas énormément d'heures. En sortant de la job, je me suis dirigé tranquillement vers le Brunet pour acheter une carte pour la fête des pères, tout en vérifiant si j'avais des messages sur mon cell.

J'en avais un de mon chum: «Salut Chuck! Juste pour te dire de ne pas chercher tes clés, tu les as oubliées ici ce matin...»

Bordel!!! J'appelle ma coloc sur son cell et elle me dit qu'elle allait partir pour le gym mais qu'elle me laissera la porte déverrouillée ainsi qu'un double de la clé sur la table. Parfait. Si j'avais appelé dix minutes plus tard je l'aurais manquée et j'aurais dû faire un gros détour pour aller chercher mes clés chez mon chum. Pas que je n'avais pas envie de le voir, mais j'étais un peu fatigué et je ne pouvais pas dormir chez lui ce soir.

Je suis donc allé acheter ma carte au Brunet, attapant au passage deux tablettes de chocolat Snickers. Retour vers l'arrêt d'autobus... et j'attends. J'attends VRAIMENT LONGTEMPS... Trois autobus sont passés en sens inverse sans que celui que j'attendais n'arrive...

Tant pis! Je prend un Snickers dans mon sac et je commence à le manger. À la première bouchée, alors que je mordais dans une arachide, celle-ci c'est émiettée et les miettes sont restées dans ma gorge, provoquant une quinte de toux des plus désagréables. Je me suis dit que ça allait passer si je continuais à manger...

Mais non ! Je n'arrêtais pas de tousser et j'ai sérieusement commencé à craindre de m'étouffer. Je me suis donc élancé vers un restaurant qui était tout près et j'ai acheté une bouteille d'eau que je me suis empressé de boire sous les regards médusés des employés.

C'est donc avec le moral au plus bas (et la gorge irritée) que je suis retourné attendre mon autobus qui a fini par se pointer avec presque une demi heure de retard. Retour à la maison, complètement knock out...

Mes projets pour le reste de la soirée ? Prendre ça vraiment vraiment très très relaxe !

mercredi 10 juin 2009

Après Kathy Bates, c'est Chucky Bates !

Parce que je suis un fan fini de Patrick Senécal, parce que j'ai lu plusieurs fois tous ses livres et parce que je serais probablement du genre à péter un plomb et à lui faire plein de trucs effrayants pour qu'il termine son prochain roman au plus crisse (dans le genre l'infirmière folle de "Misery"), vous ne pouvez pas imaginer mon bonheur intense lorsque je suis tombé hier soir sur la bande annonce de 5150 rue des Ormes...

J'étais déjà au courant qu'il y avait plusieurs projets d'adaptation de ses livres pour le cinéma, et je savais que 5150 rue des Ormes serait le prochain, mais bon Dieu que j'avais hâte de voir au moins le preview !

Pour ceux qui ne connaissent pas, ça raconte l'histoire du jeune Yannick Bérubé qui se retrouve séquestré au 5150, rue des Ormes. La famille qui le séquestre comprend Jacques Beaulieu, le père, qui se prend pour le dernier des Justes et qui est imbattable aux échecs; Maude, l'épouse soumise qui est obsédée par le Seigneur; Michelle, l'adolescente frustrée qui semble être tout aussi dangereuse (sinon plus) que son père; et enfin la petite Anne, l'enfant muette mais Ô combien inquiétante. Pour Yannick, l'enjeu est simple: s'il réussit à battre Jacques aux échecs, il pourra partir. Mais s'il ne réussit pas, il risque de ne jamais sortir de cette maison de fous !

Le film met entre autres en vedette Marc-André Grondin, Normand D'Amour et Sonia Vachon. Je vous laisse sur un petit aperçut...

mardi 9 juin 2009

Les retrouvailles

C'est étrange, ça fait deux fois qu'on me contacte pour les retrouvailles de ma polyvalente. La première fois c'était par courrier postal et ça venait d'une fille que je ne connais même pas... et ce soir, c'était via Facebook et le message venait d'une fille qui était dans ma classe en secondaire I.

La première fois, je ne m'étais pas donné la peine de retourner la réponse, mais ce soir j'ai répondu. Je ne comprend même pas pour quelle raison ils me contactent puisque comme que j'ai doublé mon secondaire II, mes retrouvailles se trouveraient à avoir lieues l'an prochain.

Et de toute façon, que ce soit cette année ou celle d'après, il est hors de question que j'assiste à ça. J'en ai rien à foutre de ce que sont devenus les gens avec qui j'ai commencé mon secondaire. Même chose pour la plus part de ceux avec qui je l'ai terminé.

Évidemment, ce soir quand j'ai répondu à la fille via Facebook, j'ai quand même dit ça plus poliment puisque je n'ai jamais rien eu contre elle en particulier, mais reste que je n'ai pas la moindre envie de faire acte de présence à cette soirée.

Et de toute façon, je serai occupé ce soir-là. Ça tombe le même jour que le mariage de ma meilleure amie. Au yâble la réunion de retrouvailles !

Ce qui s'est passé après...

Ouf! Je commence ma semaine en force, hein ? Mais ne vous inquiétez pas, tout mes billets ne seront pas aussi longs que celui d'hier. J'ai commencé à écrire et soudain, j'avais l'impression de tout revivre cette histoire. J'ai eu un trop plein d'émotions et je n'arrivais plus à cesser d'écrire.

Ce que j'ai appris de toute cette histoire ? Eh bien, je sais que je suis beaucoup plus fort émotionnellement que ce que je pensais. Je suis capable de m'accrocher dans les moments difficiles et de croire qu'il y a quelque chose de bon pour moi au tournant. Et je peux accomplir bien des choses pour atteindre mon but (le but ici étant d'avoir une vie meilleure). Comprenez-vous mieux le sens de la phrase dans l'entête de mon blog ? Pendant 18 ans je me suis senti mal d'être ce que j'étais, et depuis 10 ans je me sens bien et je profite de la vie.

C'est sûr que je trouve dommage que ce soit encore un sujet tabou avec mes parents, mais au moins j'ai des amis formidables qui m'acceptent tel que je suis. Pareil pour mes collègues de travail. Depuis que je suis arrivé en ville, je n'ai jamais eu à faire face à des commentaires homophobes.

Merci pour vos petits mots laissés à la suite du billet d'hier, ils m'ont fait chaud au coeur. Vous avez été plusieurs à me demander comment mes parents prennaient ça maintenant... Eh bien si je remonte à la première année où je suis arrivé à Québec (2000), chaque fois que je parlais au téléphone avec ma mère, elle semblait prendre un malin plaisir à me demander s'il y avait des belles filles dans mes cours au cégep... subtil, non ? J'ai fini par m'engueuler avec elle et je lui ai fait comprendre que si elle ne m'acceptait pas, eh bien je préférais au moins qu'elle s'abstienne de faire des commentaires blessants.

Elle a compris que j'avais mal. Elle ne m'a jamais lancé d'autres pointes du genre par la suite.

Quelques années plus tard, j'ai délaissé Québec pour faire une petite trempette de deux ans et demi à Montréal, puis parce que j'avais eu une bonne offre pour du travail à Québec, j'ai décidé de revenir. Sauf que je m'étais fait un copain là-bas... Il a décidé de me suivre à Québec et on a habité ensemble pendant un temps. C'était la première fois que je disait officiellement à mes parents que j'étais en couple avec un gars. À ma grande surprise, ils ont même accepté de le rencontrer !

Cependant la rencontre ne s'est jamais effectuée parce que j'ai laissé tomber le gars en question. La relation allait tout simplement trop mal.

L'affaire plate, c'est que j'ai encore du mal à parler de mon homosexualité avec mes parents. Ça va faire bientôt un an que je suis à nouveau en couple et je me dégonfle chaque fois que je suis au téléphone avec eux... je sais parfaitement qu'il n'y a AUCUNE raison pour que ça se passe mal, mais que voulez-vous, je n'y arrive tout simplement pas. C'est comme si j'avais perdu tout le progrès que j'avais fait.

Parcontre, depuis que j'ai partagé cette histoire avec vous, ça a remué plein de choses en moi. J'ai beaucoup réfléchit depuis hier et j'en viens tranquillement à la conclusion que je m'en fais probablement pour rien... Je sais que mon cheminement personnel est encore loin d'être terminé, mais j'y travaille.

lundi 8 juin 2009

Mon coming out... ou La pire soirée de ma vie

La semaine dernière, Jack avait manifesté le désir de lire un billet au sujet de mon coming out. C'est drôle parce que dans environ deux semaines ça va faire dix ans que je l'ai fait au près de mes parents. Je n'en ai jamais vraiment parlé ici parce que ça a été une étape très difficile dans ma vie. Même la plus part de mes amis n'en connaissent que les grandes lignes... J'aurais aimé que les choses se passent autrement, mais a 17 ans c'est pas toujours facile de jouer nos cartes comme on en aurait envie.



Et je tiens à préciser que tout ce que vous lirez est vrai. C'est mon histoire...





Juin 1999...

J'allais terminer mon secondaire IV et une de mes meilleures amies déménageait à Montréal au début de l'été. Le plan était simple: j'avais dit à mes parents que j'accompagnerait cette amie à Montréal et que j'y resterais deux semaines, histoire de fêter le début des grandes vacances. Mais en vérité, j'allais rejoindre un homme de trente ans dont je m'étais amouraché via Internet. On devait se rejoindre à l'Île du Prince Édouard, passer une semaine dans les provinces des maritimes et ensuite partir chez lui, à Montréal.



La veille de mon départ, il était déjà rendu à l'Île du Prince Édouard. On avait convenu qu'il me téléphonerait pour confirmer mon propre départ le lendemain. Ma mère devait soupçonner quelque chose de louche parce que quand l'homme m'a appelé, elle est allée dans une autre pièce et a décroché le téléphone pour écouter la conversation...



Elle est ensuite descendue dans le sous-sol pour me dire qu'elle en avait assez de "mes mensonges" et qu'elle savait tout. Et bien sûr, il était hors de question que je parte le lendemain matin. Moi, j'étais bouche bée. Que dire ? Que faire ? Un gros mensonge avait été dévoilé ET mon coming out était entrain de se faire. Je n'étais pas prêt ! Comment expliquer à ma mère que j'étais gai alors que depuis des années j'avais du mal à me comprendre moi-même ? Elle, elle était là à me sermonner tandis que j'étais humilié comme jamais.



Et puis elle m'a demandé si je voulais qu'elle en parle à mon père. Horreur ! Toute ma vie j'ai été convaincu que je n'étais pas suffisamment à la hauteur pour mon père. J'ai toujours eu l'impression de voir du découragement dans ses yeux lorsqu'il me parlait... enfin, les rares fois où on avait de "vraies" conversations. Lui et moi, on ne se disait pratiquement jamais rien. Et là, je frissonnais d'horreur à l'idée d'imaginer sa réaction lorsqu'il apprendrait que j'étais gai. J'ai supplié ma mère de ne rien dire. Elle a accepté et puis elle est remontée, tandis que je pleurais dans ma chambre.



Dix minutes plus tard, mon père est descendu à son tour dans le sous-sol, avec ma mère sur les talons, et il m'a engueulé comme du poisson pourri. Était-il fâché parce que j'avais menti à propos de mon voyage ou parce que j'étais gai ? Je ne l'ai jamais su. Et alors qu'il me criait après, je n'avais même pas le temps de placer un seul mot. Il est remonté en haut. Ma mère était toujours là, me regardant, ne sachant probablement pas quoi dire...



... et à ce moment précis, je n'ai même pas de mots pour décrire la haine que j'éprouvais envers elle. Je voulais qu'elle souffre. Je la détestais pour avoir enfoncé le clou encore plus profondément. Je voulais lui faire mal. Quelque chose avait lâché dans mon cerveau. Je me suis avancé vers elle, les poings serrés, la rage au coeur, et si elle n'avait pas reculé, je l'aurais frappée et j'y aurais probablement prit plaisir. Encore aujourd'hui, quand j'y pense, ça me fait peur. Je sais que j'aurais été capable de lui faire TRÈS mal.



Je me suis contenté de hurler deux fois que je la détestais et j'ai claqué la porte de ma chambre, puis j'ai pleuré à chaudes larmes. J'étais complètement désemparé et plusieurs idées effrayantes m'ont traversé l'esprit.



Quelques heures plus tard, j'en étais venu à la conclusion que j'allais quand même partir rejoindre l'homme à l'Île du Prince Édouard. J'allais lui expliquer la situation et ensuite je verrais ce qui se passerait. J'ai donc rédigé une lettre pour mes parents, leur expliquant que j'étais parti malgré leur interdiction. Je leur disait aussi que si j'étais resté, ils m'auraient retrouvé mort à leur réveil (et je ne plaisantais pas; cette nuit-là j'ai très sérieusement envisagé m'ouvrir les veines).



À cinq heures du matin, bagages en main, je suis parti en auto-stop jusqu'au quai d'où partait le bateau. Très peu de voitures roulent à cette heure alors j'ai pratiquement marché tout le long. Si je me souviens bien, le bateau partait à huit heures et jusqu'au moment où on a quitté le port, j'étais terriblement angoissé à l'idée de voir débarquer mes parents.


Mais le bateau partait bel et bien en direction de.... mon avenir ? Qu'allait-il m'arriver une fois rendu à l'Île du Prince Édouard ? Comment allait-il réagir lorsque je lui aurait raconté les évènements des dernières heures ? Quel genre d'homme pouvait avoir envie de s'encombrer d'un adolescent en crise ?



À ce moment-là, le suicide était toujours une option pour moi.



En début d'après-midi, le bateau a accosté. J'étais sur le pont et je regardais la foule sur le quai. Puis au milieu, j'ai reconnu un visage que je n'avais vu qu'en photo. Il était là. Je suis rapidement descendu du bateau et je suis allé le rejoindre. Salutations, serrage de mains, politesses de base... puis, lorsqu'il m'a proposé qu'on marche jusqu'à sa voiture, je lui ai déballé toute mon histoire en précisant que s'il préférait que je retourne chez moi, je le ferais, mais j'étais venu le rejoindre pour ne pas qu'il croit que je m'étais moqué de lui (et je n'ai rien mentionné au sujet de mes idées suicidaires).



Il a réfléchit un moment, puis m'a invité à aller prendre un café. On a beaucoup discuté, puis on a convenu que j'avais besoin de décompresser un peu avant de revoir mes parents. J'ai vécu les 3 - 4 premiers jours comme un zombie. Il devait insister pour que je mange, sinon je devenais faible. Le quatrième jour, il m'a obligé à téléphoner à mes parents. Le coup de fil a été bref. Ma mère insistait pour que je revienne, mais je n'étais pas encore prêt. J'ai raccroché.



Pendant cette semaine là, on a visité des endroits merveilleux dans les provinces des maritimes. À un moment donné j'ai même réussi à me faire croire que tout allait bien. Nous nous dirigions tranquillement vers le Québec, sans trop de stress. La deuxième semaine à Montréal s'est relativement bien passée, si on ne tient pas compte du fait que j'avais réussi à chopper un genre de gastro. J'avais aussi rappellé mes parents pour leur dire que je retournerais chez eux à la fin de la semaine, comme c'était prévu au début.



La veille de mon départ (en avion, cette fois), l'homme et moi étions allés aux glissades d'eau à Bromont. Une journée qui aurait été parfaite si je ne m'étais pas planté très salement à la sortie d'une glissade. C'est donc presque entièrement recouvert de bleus et d'écorchures que je suis retourné chez mes parents. Ma mère était venue me cueuillir à l'aéroport et elle n'a pas manqué de remarquer mes blessures. Lorsqu'elle m'a demandé ce qui m'était arrivé, je me suis contenté de dire que j'étais tombé. C'était la vérité, mais je suis persuadé qu'elle ne l'a jamais cru. Et nous n'en avons jamais reparlé.



En fait, nous n'avons même jamais reparlé du fait que j'étais gai jusqu'au 31 décembre 1999, alors que je flânais sur Internet, me demandant si tout allait boguer à minuit comme tout le monde semblait le croire. J'étais donc entrain de pitonner lorsque ma mère est descendue dans le sous-sol et s'est approchée de moi. Ses paroles ont été les plus blessantes qu'on puisse imaginer: «Sais-tu ce que serait mon voeux pour l'an 2000? Que tu commences à sortir avec des filles...»



Six mois plus tard, ma mère ne m'acceptait donc toujours pas. Elle préférait que je sois malheureux toute ma vie plutot que de me voir aimer un autre homme. J'ai eu mal, tellement mal !



Les mois qui ont suivi, je les ai passés en me disant qu'il ne me restait que peu de temps avant de terminer mon secondaire V et de partir à Montréal ou à Québec. J'aurais la paix. Je pourrais vivre ma vie... ou du moins essayer d'en avoir une!



En août 2000, je débarquais enfin à Québec. Je dis souvent que j'ai commencé à vivre à 18 ans, lorsque je suis arrivé en ville. C'est là que je me suis rendu compte que même si je suis gai, j'ai le droit d'être heureux... Moi aussi j'ai le droit d'exister.


Même dix ans plus tard, j'ai du mal à croire que tout ça soit réellement arrivé... Si je pouvais recommencer, est-ce que je le ferais ? Ce serait facile de répondre non, mais je sais parfaitement que si je n'avais pas vécu ça, ma vie maintenant serait différente... et pas nécessairement en mieux. Donc je me contenterai d'être heureux du fait que justement, ce ne sera jamais à refaire. J'aurais peut-être pu mieux réagir, ou éviter certains faux pas, mais maintenant je ne peux plus rien y changer.


Peu de lecteurs se sont probablement donnés la peine de lire ce très long billet jusqu'au bout, et je ne leur en veux pas. Mais ça m'a fait du bien de l'écrire. Je dis parfois que je trouve ma vie fade, mais il faut quand même avouer qu'une telle histoire ça n'arrive pas à tout le monde !



S'il y a des jeunes qui tombent sur ce billet et qui ont des problèmes dans le même genre... s'ils font face à des commentaires homophobes ou s'ils se posent tout simplement des questions, n'hésitez pas à aller chercher de l'aide. J'ai été vraiment malheureux pendant des années et maintenant je regrette de ne jamais avoir été chercher l'aide dont j'avais besoin. Ça m'aurait évité bien des tracas !



Vous avez le site de Jeunesse, J'écoute ICI

Et celui de Gai Écoute ICI

J'ai un kick-ass blog !

Je m'adresse surtout ici à ma "clientèle" homosexuelle. Connaissez-vous le blog Queer Canada Blogs ? C'est un blogroll qui regroupe des blogs homosexuels canadiens. Je ne le connaissais pas moi-même jusqu'à ce que je vois leur adresse dans mon Google Analytics.

Je suis allé voir le site et quelqu'un a dû suggérer mon blog puisque je fais partie du blogroll. Ce sont presque uniquement des blogs en anglais, alors si vous connaissez quelques bons blogs homosexuels CANADIENS en français (et idéalement qui sont mis à jour régulièrement), suggérez-les et ils seront ajoutés à la liste.

Pas obligé d'être des blogs qui parlent uniquement d'homosexualité; regardez le mien... je jase de n'importe quel sujet !

dimanche 7 juin 2009

Home Sweet Home

Bon, ben je suis de retour. Vous pouvez recommencer à respirer normalement... hihi!

J'espère que votre week-end s'est bien passé. Le bien était plutot sympa. Vendredi on a commandé du St-Hubert pour le dîner avec le boss. Le livreur du St-Hub a dû faire un méchant saut lorsqu'il s'est fait remettre 24 boîtes à emporter toutes à la même adresse ! On s'était apporté de la bière et du vin même si on a pas de permis de boisson... oops! Et les petites médames ont braillé parce que ça faisait genre 10 ans qu'elles travaillaient avec le patron et qu'elles ne voulaient pas le voir partir.

Samedi, c'était LA rencontre avec ma belle famille. C'est le frère de mon chum qui est venus nous chercher. J'ai eu un petit malaise lorsque je suis monté dans la voiture et que le beau-frère, qui était au cellulaire, m'à dévisagé avant de lancer à son interlocuteur: «Ben... y'est normal....» Ok... euh... héhé... il aurait dit quoi si j'avais été "pas normal" ?

Mais je l'ai quand même trouvé très sympathique. C'est donc avec lui que nous sommes partis vers Honfleur. Là je vous entend dire: «Mais Chuck... Honfleur ??... Est-ce un nom fictif ?!» Nenon, ça existe pour vrai. Quand on sort de Québec en direction de Lévis, il faut rouler, rouler, rouler, rouler et lorsqu'on commence à être franchement écoeuré, ben on continue à rouler....

Une fois là-bas, j'ai rencontré le père et sa blonde, la mère et son copain et aussi la petite nièce de neuf ans. Tous des gens supers gentils et pas gênants du tout. Mon chum était un peu nerveux avant qu'on parte de chez lui, mais une fois sur place je l'ai senti se calmer un peu. Nous sommes restés jusqu'après souper et puis on est revenus à Québec. J'ose espérer que j'ai assez fait une bonne impression pour qu'il me ramène la prochaine fois qu'il ira chez ses parents.

Le reste du week-end s'est continué sur cette belle lancée. Dimanche nous sommes allés chercher nos billets pour l'exposition Bodies puis on s'est promenés un peu dans le Vieux. On a même fait l'aller-retour sur la traverse jusqu'à Lévis. C'était la première fois que je le faisais par bateau et quand on a vu la superbe piste cyclable pratiquement à la sortie du bateau, on s'est promis de revenir avec nos rollers la prochaine fois qu'il ferait beau.

Et maintenant c'est la semaine qui recommence... Ça ne me le dit pas, mais bon.... puisqu'il le faut...

vendredi 5 juin 2009

De retour après la pause

C'est presque le week-end !! Oh yeah !! Et en plus il fait beau !! Oh yeah, oh yeah !! Et il est censé faire beau tout le week-end !! Oh yeah !! Oh yeah !! Oh... (ok, vous avez compris l'idée...)

Ne me cherchez pas sur la blogosphère en fin de semaine car je serai parti chez mon copain, probablement jusqu'à dimanche soir. Cependant, normalement je devrais avoir quelques trucs intéressants et anecdotes cocasses (stie que j'aime ce mot-là) à vous raconter à mon retour, puisque tantôt c'est le dîner d'au revoir pour mon boss et que les médames seront probablement saoûle après un quart d'heure. Et samedi je rencontre ma belle famille pour la toute première fois.... ouh la la !

Et il y a Jack qui serait intéressé à entendre parler (ou plutôt "à lire") à propos de mon coming out fait il y a dix ans. Ça, je ne peux pas garantir que j'écrirai le billet, mais je promet d'essayer. Pas que je ne veux pas en parler, mais c'est un mauvais souvenir et je ne voudrais pas éventuellement traumatiser un jeune homosexuel qui ne s'assume pas encore et qui tomberait par hasard sur ce texte...

Bon, allez ! Bon week-end à toutes et à tous, je vous aime fort fort et je vous embrasse avec la langue !

De retour après la pause...




jeudi 4 juin 2009

Bodies

Est-ce que quelqu'un a vu l'exposition Bodies ? Mon chum et moi ça nous intéresse beaucoup, mais à 25$ du billet pour une heure, je veux être sûr de ne pas payer pour rien...

So what ?

Préférez-vous mon template actuel ou celui que j'avais avant, le bleu avec le cowboy à gauche ? J'aime bien celui-ci mais ça m'achale que les images soient transparentes... Je songe à revenir à l'ancien.

Je fais quoi ?

Edit:
J'avais besoin d'une seule confirmation. Je l'ai eue, me revoilà avec mon ancien template. J'ai juste pas pu retrouver mon ancienne entête, mais tant pis!

Dire des cochonneries...

Cette semaine je suis tombé sur un site de cartes virtuelles parlantes. Oui oui, des cartes qui parlent.

Vous avez le choix entre une voix d'homme, une voix de femme ou bien vous enregistrez votre propre voix. Ensuite vous écrivez votre texte, mais pour que ça fonctionne bien, écrivez les mots phonétiquement, du genre: «Alo comen sa va ? Je t'èm for for...» (ne vous inquiétez pas, le texte ne sera pas apparent dans la carte).

C'est encore plus drôle si vous mettez un texte XXX. Moi j'ai envoyé à mon chum une carte sur laquelle on voyait un ourson rose qui parle de cul, et à mon amie Marie une infirmière perverse. Vulguaire, mais tellement drôle quand on ne s'y attend pas!

Have fun !

mercredi 3 juin 2009

Yééé !!

Un gros merci à MAG pour la chanson.
Et c'était la première fois que quelqu'un parlait de moi à la radio ! J'étais tout content ! hihihi!

100 Questions

Emprunté chez Lily

Q: Le dernier livre que vous avez lu ?
R: Ces temps-ci j'ai la fâcheuse habitude de ne pas terminer ceux que je commence. Je crois que le dernier que j'ai lu au complet, c'était Poltergeist de James Kahn (tiré du film).

Q: Le plat cuisiné par votre mère que vous préférez?
R: Petits pains fourrés à la viande

Q: Si vous deviez ne manger qu'un aliment, ce serait....
R: Des pâtes

Q: Que pense-t-on faussement de vous?
R: Que parce que je suis gai je trippe à mégésiner avec des amies de filles... J'haïs ça magasiner des gueunilles de filles!!

Q: Votre signe astrologique:
R: Sagittaire

Q: À l'école/Au Travail, on dit que vous êtes...
R: Le p'tit criss qui aime jouer des tours...

Q: Votre matière préférée à l'école ?
R: Au secondaire c'était le français et au cégep c'était le théâtre.

Q: Vous rêvez de devenir...
R: Beau et riche... et le pire, c'est que c'est vrai...

Q: Quel métier auriez-vous de la difficulté à pratiquer?
R: Huissier. Et j'ai faillit tomber en burn out quand je faisais du service à la clientèle pour une compagnie de systèmes d'alarmes.

Q: La plus vieille chose que vous possédez?
R: Euh.... mon chat ? Mon CD de Marcy Playground ? Une collection de cassettes vidéo...

Q: La cause qui vous touche le plus?
R: Les enfants et les animaux maltraités.

Q: Quelles langues parlez-vous?
R: Français, et je me débrouille en anglais. Et j'ai découvert (à ma grande surprise) que je comprend certaines phrases en italien.

Q: Votre mauvaise habitude:
R: Manger mes émotions.

Q: Le matin vous ne pouvez partir sans...
R: Ma montre (même si mon cell indique l'heure...)

Q: Vous adorez...
R: Le chocolat au lait. Je le vénère. Je l'idolâtre. Je l'aime d'un amour pur et sans failles.

Q: Et vous détestez...
R: Les gens profondément imbéciles.

Q: Si vous aviez du cran, que feriez-vous dans les prochains jours?
R: Je sacrerais ma job là sans en avoir une autre

Q: Le comportement humain qui vous ennuie le plus?
R: L'imbécilité.


Q: Qu'est-ce que vous accumulez inutilement?
R: Les attaches de sac à pain. Sérieux. Et je ne sais pas pourquoi...

Q: Ce qui vous fait perdre les pédales?
R: Qu'on s'en prenne à quelqu'un que j'aime.

Q: Quel truc vous empêche de "pogner les nerfs"?
R: Serrer les dents et attendre que ça passe.

Q: Les trois mots qui vous décrivent le mieux:
R: Tranquille, Authentique et mon amie Marie-Hélène vous dirait aussi Bitch...

Q: Un film qui vous a fait pleurer?
R: Aurore et Life is Beautiful

Q: Quel est votre sport favori?
R: Kayak !!

Q: Une personne que vous aimeriez revoir?
R: Alexandre, mon neveu

Q: Le nom de votre meilleur(e) ami(e)?
R:Marie-Hélène et Philippe

Q: À quel âge avez-vous quitter le domicile familial?
R: Fugue à 17 et départ définitif à 18.

Q: Un détail que vous pourriez reprocher à votre mère?
R: Sa facilité à lancer des piques qui font vraiment mal... mais j'ai hérité ça d'elle alors puis-je vraiment le lui reprocher vu que je ne m'en prive pas lorsque quelqu'un me fait ch*er ?

Q: Avez-vous des travers qui énervent vos amis?
R: Ne pas parler quand quelque chose va mal.

Q: Le moment le plus difficile de votre vie?
R: La première année lorsque je suis revenu vivre à Québec après deux ans à Montréal.

Q: La voiture que vous rêvez de posséder?
R: Une qui ne consomme presque pas d'essence... et qui roule TRÈS vite !

Q: Le dessert auquel vous ne pouvez résister?
R: Mousse au chocolat. En fait, pas mal n'importe quoi qui contient du chocolat. Même une bonne vieille barre KitKat.


Q: Quelle est pour vous la couleur la plus apaisante?
R: Beige

Q: Une chose qui vous fait craquer chez un gars/une fille?
R: Son côté sympathique

Q: Quel parfum portez-vous?
R: The One, par Dolce & Gabbana

Q: La chose que vous détestez du travail?
R: Les collègues qui ne se mêlent pas de leurs affaires.

Q: Quels sont vos passe-temps préférés?
R: Regarder des films, jouer à Mario Kart Wii, lire, bretter sur mon ordi...

Q: Un bon moyen de vous défouler?
R: Me masturber ? (OH!)

Q: Quel pays rêvez-vous de visiter?
R: L'Irlande

Q: Quelle chanson aimeriez-vous chanter au Karaoké?
R: Your Body is a Wonderland, de John Mayer ou With Arms Wide Open, de Creed.

Q: Dans quel type de magasin voulez-vous tout acheter?
R: N'importe quel où ils ont des DVD

Q: Quel est votre moment préféré de la semaine?
R: Vendredi, 18h00. Bienvenue dans Les Week-Ends de Chuck !

Q: La pièce que vous préférez chez vous?
R: Ma chambre.

Q: Quel est votre site préféré en ce moment?
R: Mon blog et Facebook. Oh, pis tiens, celui-ci aussi... héhéhéhé!

Q: De quoi avez-vous de la difficulté à vous départir?
R: Certains vieux souvenirs qui font encore mal.

Q: Quelle est votre résolution 2009?
R: En 2008 je voulais devenir plus égoïste, mais en 2009 je ne me souviens plus si j'en avais prit une...

Q: La chanson qui vous donne des frissons à tout coup?
R: Gangsta's Paradise, de Coolio. C'est en lien avec un trip de buvards quand j'avais 13 ans... Il y avait aussi A Fairy Tale (version de Véronic DiCaire) mais je n'arrive plus à la trouver nulle part et elle me manque cruellement.

Q: Le matin vous bougonnez ou vous souriez?
R: Je souris. Étant donné que je commence à travailler à 13h45, j'ai pas vraiment de quoi bougonner le matin...

Q: La journée que vous aimez le moins?
R: Le dimanche. Y'a JAMAIS rien à faire le dimanche.


Q: Un bruit qui vous énerve?
R: Un rot, un pet ou quelqu'un qui mâche fort. Multipliez l'énervement par 1 000 si le bruit est fait par quelqu'un qui trouve ça drôle de faire ça.

Q: Que serait-on surpris de savoir à votre sujet?
R: Je suis beaucoup moins cochon que ce que vous pensez.

Q: Si vous pouviez avoir toujours le même âge, lequel serait-ce?
R: C'aurait été 23. Bouhouhou... je suis triste...

Q: À quel âge voudriez-vous mourir?
R: Quand je serai prêt. C'est probablement ce qui arrivera.

Q: Pour quelles raisons aimeriez-vous être du sexe opposé?
R: Pour être hétéro. Oh non! Pour me jouer après la nounne ! hihihihi!

Q: De quoi avez-vous le plus peur?
R: Égalité entre les clowns et les tarantules. Vous allez me perdre pour de bon si vous me montrez un clown qui crache des tarantules.

Q: Un luxe que vous aimeriez vous offrir régulièrement?
R: Acheter plein de DVD

Q: Un gadget indispensable?
R: Mon portable.

Q: Ce qui vous préoccupe le plus?
R: Mes finances.

Q: Ce que vous changeriez dans la société?
R: L'ignorance

Q: Que reportez-vous toujours à plus tard?
R: Me remettre à l'exercice.

Q: À quand remonte votre dernier gros fou rire?
R: Euh.... probablement la semaine dernière au travail.

Q: À propos de quoi vous êtes-vous disputé dernièrement?
R: Avec ma coloc à propos du ménage.

Q: Votre surnom?
R: Chuck, Chucky, P'tit Criss (même si je fais presque 6')... Honnêtement, j'aime bien Chuck. S'il était intégré à ma vie de tout les jours, ça me plairait.

Q: Un de vos plus beaux souvenirs:
R: Mon arrivée à Québec, août 2000.

Q: Vos idoles:
R: La gang de Friends

Q: Votre plus grand rêve serait...
R: Être beau et riche...

Q: Quel rang occupez-vous dans votre famille?
R: Le p'tit dernier qui a mal tourné...

Q: Avez-vous des animaux de compagnie?
R: Trois chats: Gargouille, Teddy et Minna (les deux derniers sont à ma coloc)

Q: Livres, télévision ou jeux vidéo?
R: Un mélange des trois...

Q: Votre restaurant préféré?
R: Casey's à Place Ste-Foy.

Q: Un côté bébé de votre personnalité:
R: J'ai encore mes livres Frissons.... (si vous n'êtes nés dans les années 80, c'est probable que vous ne connaissez pas...)

Q: Vous inventez un médicament miracle, il guérit...
R: La bêtise humaine.

Q: Une chose dont vous parlerez jusqu'à la fin de vos jours:
R: Le cinéma.

Q: Votre élément: eau, terre, air ou feu?
R: Je suis Sagittaire... c'est donc le feu

Q: Qu'êtes-vous capable de faire facilement?
R: Me barrer les pieds et planter en pleine face.

Q: Avez-vous déjà remporté un concours étonnant?
R: Étonnant, non, mais j'ai eu une médaille d'or en saut en hauteur et j'ai gagné un genre de Fort Broyard organisé au secondaire.

Q: Un talent que vous n'avez pas du tout?
R: La bosse des maths...

Q: Pour quelle discipline méritez-vous une médaille d'or?
R: La patience, l'art de me planter et la meilleure humiliation publique (toute une classe de secondaire V ont vu mes fesses quand j'étais en sec III)

Q: Quel est l'aliment le plus exotique que vous avez mangé?
R: Exotique ? Humm... probablement une carambole. Surprenant: de la chêvre en Jamaïque.

Q: Quelle est la plus belle femme du monde?
R: Courteney Cox !! Elle me ferait changer mon fusil d'épaule anytime !

Q: Quel est le plus bel homme du monde?
R: David Beckam, James Marsden

Q: Le plus beau moment de l'histoire?
R: Mon arrivée à Québec, en 2000

Q: La personne que vous admirez le plus?
R: La femme du voisin d'à côté. À moins d'être aussi folle que lui, je ne comprend pas comment elle l'endure.

Q: Que pensez-vous de la guerre?
R: Ah, écoute... c'est tellement beau et intélligent comme idée...

Q: Votre moment préféré de l'année?
R: L'Halloween !!

Q: Préférez-vous la joie de donner ou l'excitation de recevoir?
R: La joie de donner

Q: Le pire cadeau que vous avez reçu?
R: Une fucking nappe de Noël...

Q: Un désir que vous n'avez jamais assouvi?
R: Un trip à trois. Mais j'oserai probablement jamais.

Q: 514, 450 ou 819??
R: 418 !

Q: Votre émission de télévision préférée?
R: Les Simpsons, Friends

Q: Votre pire mauvais coup:
R: Ado, j'ai volé deux appareils photos et environ 100$ de pellicule... en un après-midi.

Q: Votre péché mignon:
R: Le chocolat

Q: Le proverbe/la phrase qui vous inspire le mieux?
R: Celui qui est sur l'entête de mon blog.