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vendredi 28 janvier 2011

Mesdames, à vos chaudrons!

Je viens de voir passer ça sir Facebook.
Mesdames, vous savez ce qu'il vous reste à faire!

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vendredi 7 janvier 2011

Trahi par un reflet

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Chez F, pendant le souper:
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Chuck: T'as un poil dans ton assiette... Ça doit être à la minoune.

F: Euh... ça doit être crissement un de tes cheveux, mon grand.

Chuck: Pfff! Ben non. C'est clairement un poil de la minoune.

F: C'parce que la minoune à pas le poil long comme ça... (il regarde de plus près avant d'ajouter: Pis elle a pas des reflets roux....

Chuck (outré parce qu'il réalise encore une fois qu'il a des gênes de roux): Oh! Ça c'est un coup bas!
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J'sais pas c'est quoi le problème avec les roux, hein? Une fille rousse, c'est toujours hot. Mais un gars roux, les gens le prennent pour un arriéré...

jeudi 23 décembre 2010

Ma maudite, toé!

J'avais besoin de lait. Du lait, joualvaire! Fallait pas que je me fasse une épicerie de 150$, fallait juste que j'achète du lait!...

Je descend au IGA, il y a beaucoup de monde, mais j'arrive à saisir une poche de lait et je m'enligne vers la caisse rapide. Il y a une vieille bonne femme qui a l'air perdue avec son panier. Elle est ENTRE deux files et je lui demande si elle attend pour la caisse rapide (parce que je pensais qu'elle attendait peut-être que quelqu'un la rejoigne). Elle me dit que oui et place son panier dans la ligne, devant moi.

Elle n'a que six ou sept articles et je me dit que ça va être rapide.

Il y a deux clients devant la vieille. Lorsque son tour vient, la caissière passe ses articles et lui dit le prix. La vieille madame lui tend sa carte de guichet, la caissière la glisse dans la machine et la vieille commence à pitonner...
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Mémé: Je ne sais pas si ça va marcher...

Caissière: Si ça ne marche pas, on va ré-essayer.

Mémé: Ça a pas marché.

Caissière: On va ré-essayer... là, faites OK.... Non, n'ôtez pas votre carte tout de suite... Il faut faire votre NIP.

Mémé: Mon NIP ? Je l'ai pas...

Caissière: ... ?

Mémé: Si je vais à l'autre caisse, est-ce qu'il va me falloir un NIP aussi ?
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Non!
Non non non!

NON!!!

Come on, mémé! Vient pas me faire croire que toute ta vie t'as payé tes achats avec tes rouleaux de cennes noirs pis qu'aujourd'hui précisément t'as décidé d'essayer ta carte de guichet pour la première fois!!!

jeudi 21 octobre 2010

À poil, le chat!

Gwyneth et Gwendoline ont décidé de faire raser leur chat à cause des allergies de Gwyneth.

Gwyneth m'a dit que Gwendoline avait passé quelques minutes à bien expliquer au chat pourquoi il allait perdre son manteau de poils...

... ça me fait tellement rire, ce genre de monde-là...

mercredi 20 octobre 2010

Jasette avec moman

Chuck, est-ce que je te l'ai dit? J'ai annoncé à mon patron que je prendrais ma retraite à partir de janvier.

Oh!... euh.... félicitations?

Mais en vrai, j'ai pensé: «Merde! Mes deux parents sont rendus à leur retraite.... ça veut dire que je vieillis, ça!»

Je suis peut-être trop centré sur moi-même... Anyway, j'ai pas à m'inquiéter pour eux; ils se tiennent tellement occupés qu'ils ne s'ennuieront pas pendant leur retraite.

mardi 19 octobre 2010

J'en ai presque pissé dans mes shorts!

mercredi 13 octobre 2010

Cruauté envers les propriétaires d'animaux

Miriam: Je suis allée porter Minounne chez le vétérinaire, ce matin. Elle va avoir sa grande opération. Dégriffée et opérée. Je vais la chercher vendredi.

Moi: Oh... et es-tu triste, là?

Miriam: Ben... non, pourquoi?

Moi: Tu sais, elle va se réveiller dans sa cage... seule... Elle va se sentir différente en-dedans sans comprendre pourquoi... elle va avoir mal aux doigts... Elle va peut-être même se demander qu'est-ce qu'elle a fait pour que tu l'amènes-là...

Miriam: Arrête...

Moi: Elle va t'appeller... "Maman! Pourquoi je suis ici? T'es où??"

Miriam: Chuck!... Arrête!!

**Combien vous gagez qu'il y en a une qui s'endort en pleurant ce soir? Gnahahaha!!

vendredi 24 septembre 2010

J'ai une petite queue...

Mesdames, il y a des choses qu'il ne faut jamais dire à un garçon.

Aujourd'hui, pour la première fois, je suis arrivé au travail avec les cheveux attachés en une couette basse sur la nuque parce que ça va bientot faire un an que je ne suis pas entré chez un coiffeur et qu'ils commencent à être un tantinet longuets...

Alors que j'étais penché sur un papier, entrain de calculer des trucs, ma collègue Minnie est passée derrière moi et m'a lancé: «Chuck, je viens de remarquer que tu as une petite queue!»

Heille, heille, heille!

Il y a des choses qu'il ne faut jamais dire à un garçon... et ça, ça en fait partie! J'ai quand même une réputation à sauvegarder, moi là...

jeudi 26 août 2010

Ma mère à la conquête de Facebook

Ma mère est du genre à tripper solide sur les trucs d'artisanat. Le genre de trucs qui font buzzer les médames qui sont inscrites dans le Cercle des Fermières. Elle n'est pas trop à l'affût des nouvelles technologies... ni même des anciennes technologies (à ce compte-là, je ne suis pas mieux qu'elle!).

Ma mère a un ordinateur depuis plusieurs années, mais elle ne l'utilise que pour jouer à des jeux du genre Parchisi, Yatch, échecs... Elle downloade tout les jeux qu'elle trouve et se ramasse souvent avec une centaine de virus sur l'ordi. Vous voyez le genre?

La dernière soirée avant mon retour à Québec, elle m'a dit qu'elle voulait s'inscrire sur Facebook. Oh boy! M'man est bien la dernière personne que j'aurais imaginé sur Facebook. Mais remarquez, je crois que ça commençait à jaser dans ma famille puisque depuis quelques mois je remarquais que j'ai plusieurs oncles et tantes (dont certains ont passés 70 ans!) qui se créaient des comptes Facebook...

J'ai donc passé une partie de ma dernière soirée de vacances à expliquer le merveilleux monde de Facebook à ma maman:

Chuck: Et je te préviens, tu vas revevoir plein d'invitations connes pour tout et n'importe quoi. Mais pour pas te faire achaler, tu cliques sur "refuser toutes les invitations de cet ami". Après un certain temps, tu n'en recevras plus.

La maman de Chuck: Est-ce que je peux mettre mes photos de tissage/crochet et/ou autres trucs d'artisanat qui font buzzer les médames du Cercle des Fermières ? (bon, elle ne l'a pas dit dans ces mots-là, mais en tout cas...)

Chuck: Oui. Je vais te montrer à créer un album et à y ajouter des photos.

Plusieurs minutes plus tard:

Chuck: Bon! Maintenant, ajoute quelques amis. Tiens, ajoute matante Baboucha et matante Pétrouchka. Et puis ma soeur et aussi...

La maman de Chuck: Ben non! Je veux juste mettre mes photos pour que les gens puisse les voir. Je ne veux pas avoir d'amis là-dessus.

Chuck: Euh... j'crois qu'il y a quelque chose que t'as pas saisi à propos de Facebook...

jeudi 27 mai 2010

«Faut qu'on se jase...»

Pourquoi quand quelqu'un commence une phrase par «Faut qu'on se jase...» c'est jamais bon? C'est encore pire quand c'est au téléphone et qu'on se fait dire «Faut qu'on se jase, mais pas au téléphone. Viens ici...».

Quand je me fais dire ça, mon cerveau se met automatiquement en mode survie. Je m'inquiète, je me demande ce que j'ai fait de pas correct, je me creuse les méninges...

Même si le fameux «Faut qu'on se jase...» est suivi d'un «...mais inquiète-toi pas, c'est rien de grave» j'arrive quand même à me faire du mouron. Un «Faut qu'on se jase», ça peut jamais être bon.

Aujourd'hui, j'ai justement eu droit à un «Faut qu'on se jase... mais inquiète-toi pas, c'est rien de grave» au téléphone, de la part de mon chum. Il m'a demandé d'aller chez lui afin de discuter.

Hein?? Qu'est-ce que j'ai fait? Qu'est-ce que j'ai dit? Pour quelle raison serait-il fâché? Ou bien il a peut-être quitté son emploi? Peut-être est-il est transféré à Montréal et qu'il veut que j'y aille aussi?? (Montréal... beurk!)

Je suis allé le rejoindre et il m'a fait languir une bonne quinzaine de minutes avant de se décider à me parler. Évidemment, plus j'attendais qu'il me parle, plus je devenais de mauvaise humeur parce que, malgré ses «c'est rien de grave» il restait toujours le «Faut qu'on se jase...». Bref, il voulait me parler d'un petit bout de "presque" conversation qu'on avait eu la veille lors d'un souper au resto et qu'on n'avait pas pu terminer parce que ce n'était ni l'endroit ni le moment. Du moins, lui c'est comme ça qu'il voyait les choses car pour moi, la discussion était close depuis la veille et je n'y pensais plus.


Nous nous sommes rembarqués dans une autre discussion qui a duré une éternité et pendant laquelle chacun de nous pensions que l'autre était frustré.

C'est jamais bon un «Faut qu'on se jase...»

samedi 28 novembre 2009

L'art de se faire des ennemies à la job

Mettant en vedette:
Viviane (35 ans)
Miriam (19 ans)
Marc (entre 26 et 29 ans)
Chuck (à deux semaines de ses 28 ans)
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Chuck:
«Depuis quelques temps, Viviane engage juste des p'tites connes écervellées»
Miriam: (en riant) «Comme moi ?»
Chuck: «Ben.... dans c'genre-là...»
Miriam: «Pis toi, t'es juste un vieux croûton.»
Viviane: «Heille, Miriam!... es-tu entrain de me traîter de vieille moi aussi ?!»
Miriam: «Non, mais Chuck, c'est pas pareil. Il est vieux dans l'âme. C'est une vieille croûte.»
Chuck: «Pfff! C'est un fait qu'un homme, en vieillissant, ça devient plus hot. Une femme, en vieillissant, ça devient plus...... flétrie...»

Marc dit qu'il est d'accord/Miriam est outrée/Viviane commence à me frapper furieusement avec un paquet de feuilles qu'elle tient en main.

Chuck: «Ben quoi?? J'invente rien, là. C'est reconnu mondialement.»

Viviane cesse de frapper et baisse la tête, honteuse.

Viviane: «Mouais..... c'est pas faux....»
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**Aaaahhh, mais quel plaisir de choquer ses collègues de travail le vendredi, juste avant le week-end!

dimanche 27 septembre 2009

Bye Bye Maison!

Ici, on a un bail qui commence à partir de Février. Nous venons tout juste de recevoir l'avis de renouvellement (et par conséquent une nouvelle augmentation du loyer) et après avoir réfléchi pendant deux jours, j'en suis venu à la conclusion que la maison ne convenait plus à mes besoins.

Bien sûr, elle est belle et grande, mais pour la portion que j'en utilise (ma chambre, la salle de bain et la cuisine), je me dis que pour un peu moins cher je pourrais avoir un bel appartement pour moi tout seul. Je ne veux pas déménager tout de suite avec F parce que ça fait à peine plus d'un an qu'on se fréquente et comme ça fait vraiment très longtemps que je n'ai pas habité seul, je me dis que c'est maintenant le moment idéal.

J'ai donc piqué une petite jasette avec ma coloc tantot pour lui expliquer mon point de vue et elle a compris. J'ai besoin d'habiter seul pendant un temps. Je vais donc commencer tranquillement à me chercher un petit logement qui sera disponible pour Février.

mardi 18 août 2009

I Love You Forever!

Il y a quelques jours, alors que je dormais chez F, le téléphone a sonné vers les 3h00 du matin...

F: «Allo ?»
Homme: «Je t'aime!»
F: «... ?!»
Homme: «....»
F: «Euh... C'est qui ?»
Homme: «C'est Yannick!»
F: «....»
Homme: «C'est pas Gérard ?»
F: «...Non.»
Homme: «... oops! s'cusez!»

C'est drôle, mais ce genre d'appels, ça arrive toujours en pleine nuit. F était vraiment très surpris et je lui ai fait remarquer que c'était probablement juste un gars saoul qui niaisait, mais il m'a dit qu'à l'entendre il avait eu l'impression de parler avec quelqu'un de sobre. Heureusement que ça n'arrive pas trop souvent ces choses-là!

lundi 20 juillet 2009

C'est n'importe quoi !! / It's n'importe what !!

Gargouille: «Kessé tu fais là, toi ? C'est MON dessus de bibliothèque. Dégage, pétasse !»
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Minna: «T'as même pas rapport. J'ai le droit, bon!»
Gargouille: «Laisse-moi t'expliquer kekchose: ou bedon tu décrisses, ou bedon j'te mords dans le dos et avec mes supers pouvoirs je te transforme en zombie... Je détiens ces pouvoirs de mon ancêtre qui s'appellait Black-Cat-Miaou
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Minna: «...Euh... c'parce que t'as full pas rapport! T'es pas chill, le gros! J'partirai pas, bon!»
Gargouille: «Ah non ? Ben r'garde-moi ben aller!»
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Minna: «Mayday, mayday... Aaaahhhggg!! dfjhbew ! sjdbe! bhdnewenwe !!»

mercredi 15 juillet 2009

Il avait l'air de se dire: «Menoum Menoum!»

Aujourd'hui, le grand patron d'où je travaille était là. Il a été là toute la journée. Je ne suis pas super à l'aise lorsqu'il est vient... probablement parce que justement il ne vient pas souvent et que je n'ai pas eu l'occasion de socialiser avec lui.

Toujours est-il qu'à un moment où j'entrais dans la cuisine d'un côté, je l'ai vu entrer d'un autre côté. Il ne savait pas que j'étais là...

Il s'est arrêté près d'un étalage de pâtisseries et a hésité...

Il a regardé un peu autour de lui (mais pas dans ma direction) et il a saisi une pâtisserie au chocolat, avec du chocolat dedans et autour. Puis, l'air triomphant, il a continué de marcher...

... pour se retouver directement en face de moi. Il a eu l'air surpris et coupable à la fois.

Je lui ai dit: «Tut, tut, tut... c'est pas bon, ça...»

Il m'a regardé, puis il a regardé sa bédaine plus que proéminante... et il m'a regardé de nouveau en me disant: «Sérieusement, tu ne crois pas qu'il est déjà trop tard ?»

Ben oui, m'â répondre à ça, moi! Un plan pour perdre ma job...

jeudi 9 juillet 2009

Billet en trois parties

Première partie: Louanger le Seigneur
En partant travailler, je remontais ma rue et j'ai vu trois gars, torse nus, entrain de tondre la pelouse d'un terrain. Bronzés, shapés comme des dieux, en sueur... Beaux comme ça, c'était à peine croyable! C'est pas mêlant, j'ai eu envie de me mettre à genoux et de remercier le ciel, puis ensuite je serais allé m'étendre sur le terrain d'en face pour les regarder travailler, un cigare dans une main et l'autre main dans les culottes...

Deuxième partie: Des lesbiennes en camping
En arrivant au travail, après l'épisode du guichet automatique raconté dans le billet précédent, je suis allé jaser avec ma collègue lesbienne (que nous appelleront Gwyneth pour les besoins de la cause) . Gwyneth m'a donc annoncé candidement qu'elle et sa copine (appellons-là Gwendoline) partaient en camping ce week-end. N'étant pas une habituée du camping, Gwyneth m'a dit qu'elle n'était pas certaine de bien dormir et qu'elle allait sûrement sursauter au moindre bruit. Après lui avoir donné mes conseils de base: «si tu entends des bruits étranges autour de la tente, prend pas de chance et fais la morte» je lui ai dit que de toute façon, elle allait probablement se faire manger par un ours quand même. Elle m'a lancé une oeillade en précisant: «Probablement plus par une oursonne...» (Oh la cochonne!)

Troisième partie: L'art de se mettre dans le trouble
Une autre collègue m'a annoncé qu'un des pâtissiers allait bientôt obtenir son permis de conduire. J'ai roulé les yeux en disant: «Eh boy... ça va être laid!»... Ben le pâtissier en question était debout derrière moi !

jeudi 28 mai 2009

La subtilité ça s'apprend !

Aujourd'hui mon amie Élisabeth est revenue me voir à mon travail. Elle s'est commandée un petit snack et je me suis assis avec elle. Nous avons jasé une bonne demi heure de nos vies respectives et de ce qu'on pensait des gens de notre âge qui retournent vivre dans notre petit patelin loin de tout.

Au cours de la conversation, un "pas d'vie" s'est installé à la table juste à côté de la nôtre (même si presque toutes les tables dans la salle à manger étaient vides) et, en même temps qu'il mangeait, il ne cessait pas de nous regarder et ne perdait pas un mot de la conversation. Dans le genre subtil, on a déjà vu mieux...

À un moment donné j'étais carrément sur le bord de lui demander s'il avait envie de participer à la conversation. Cependant je me suis retenu; après tout on ne disait rien de vraiment trop personnel et ce n'est pas comme s'il était justement embarqué dans la conversation sans y avoir été invité...

N'empêche que j'ai trouvé ça un peu déplacé. Personnellement, lorsque je suis dans un endroit publique, si je surprend une conversation qui m'intéresse, j'ai au moins la présence d'esprit de faire semblant que je n'écoute pas...

jeudi 23 avril 2009

Je l'ai cherché !

J'aime bien la plus part de mes collègues de travail. J'en ai de tous les âges. Parmi eux, il y a une petite madame qui doit avoir environ l'âge de ma mère. Appelons-là Suzanne.

Suzanne c'est une ricanneuse. Elle adore faire des blagues et trouve quelque chose de positif à presque toutes les situations. Et elle aime parler de cul...

... et comme vous le savez, moi aussi j'aime parler de cul...

Aujourdhui, je suis arrivé au travail avec la mine basse. Suzanne est passée près de moi et m'a demandé pourquoi j'avais l'air aussi fatigué. J'aurais pu lui dire la vérité: que je relève d'une grippe mais que j'ai encore du mal à dormir et que je commence à trouver ça difficile de travailler six jours par semaine. Cependant je trouvais ça un peu plate comme réponse. Je me suis donc contenté de lui répondre: «Oh, j'ai fourré toute la nuit et là je suis crevé...» (même fatigué j'aime faire des petits commentaires salés)

Suzanne a éclaté de rire et m'a répondu: «Je te comprends! Moi aussi des fois ça m'arrive et c'est vrai que ça fatigue! Et en plus, à mon âge, je le fait tout le temps comme si c'était la dernière fois... après tout on ne sait jamais...»

Trop d'information ? C'est ce que je me suis dit. Mais il faut se rendre à l'évidence: je l'ai cherché!

lundi 13 avril 2009

Couille Bleue

Trouvé sur le blog de Hispong Elbayne

vendredi 3 avril 2009

«On fait des grosses bulles, on joue au sous-marin...»

*En passant, «on joue» je sais jamais si ça s'écrit avec un T ou un E... mais là ils me disent tous (dans les commentaires) que c'est avec un E, faque on va laisser le E. (crime! j'étais super bon en français dans mes jeunes années...)
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Hier soir, j’ai prit un bon bain chaud. Je ne suis pas du genre à rester des heures et des heures dans la baignoire, mais se faire mariner un p’tit vingt minutes dans l’eau savonneuse, ça fait du bien après une journée de travail.

Toujours est-il que lorsque je suis dans le bain, j’ai l’habitude de prendre toutes les bouteilles qui sont à ma portée (shampooing, revitalisant, bain moussant, huiles diverses de ma coloc...) et de lire les étiquettes au verso. Perte de temps ? Absolument !

Hier soir, j’ai faillit me noyer en lisant le derrière de ma bouteille de shampooing :
«Offrez-vous un moment encore plus savoureux que les commérages du quartier grâce à ce délectable shampooing au vif parfum de pomme.
Rendez-vous avec votre pomme de douche: Faites mousser. Rincer. Imprégnez-vous à coeur joie de cet exquis parfum de pommes cueillies au verger. Ou jusqu’à ce que le téléphone vous sorte brutalement de votre douce rêverie.
»

Est-ce que c’est seulement moi qui pense ça ou si celui qui a écrit ce truc sonne comme un écrivain frustré de ne jamais avoir réussi à publier un livre ??

Excusez-moi, mais fallait que j’en parle à quelqu’un...